Promenades et Randos de mai à novembre 2013

avec l'Armada de Rouen du 11 juin 2013

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des photos  par "clic" sur les imagettes

 

- La sortie "commune" du 7 novembre 2013 au quartier du Gros Caillou avec déjeuner au restaurant de l'école Hôtelière "Ferrandi".

Cette sortie a débuté par un déjeuner au restaurant de l'école hôtelière Ferrandi. Nous étions 25 convives pour apprécier ce repas . (photos 1 à 7)
Albert nous a ensuite pilotés d'un pas décidé autour du quartier du Gros Caillou , pas de chance,  le quartier était bloqué par les CRS pour la manifestation des sages femmes.

 Nous avons vu malgré tout, le jardin Catherine Labouré, (8) ancien potager du couvent des Filles de la Charité, La Pagode de la rue de Babylone (9) (cinéma indépendant classé art et essai) réputé pour sa salle japonaise et son jardin.

Nous avons aperçu l'église St François Xavier (10)  en traversant la place du Président Mithouard , St Louis des Invalides (11)  inauguré par Louis XIV le 28 août 1706 dont le Dôme a nécessité 12 kg d'or lorsqu'il a été redoré en 1989.

 Après avoir emprunté le passage de la Vierge, nous nous sommes retrouvés rue Clerc (rue très commerçante) (12 et 13) , la rue de l'Université (14)  puis devant l’église St Pierre du Gros Caillou (15) dont la première pierre fut posée le 19 mars 1733 alors que le projet datait de 1652, lorsque ce quartier est devenu un bourg. Elle fut démolie à la révolution et reconstruite en 1822.

Après cette promenade digestive, nous sommes arrivés devant l'Eglise américaine (16 à 18) qui devait être la fin de notre périple, mais qui en fait, n'était que le début (vive la manif !! )… .

Les Américains vivant à Paris ont toujours constitué la majorité des fidèles de cette église de style néogothique, mais aujourd'hui une quarantaine de pays très différents et quelques trente-cinq cultes protestants sont représentés. Les vitraux sont remarquables, ils ont été conçus aux Etats Unis et exécutés en France en verre anglais. Il y a lieu de signaler que deux vitraux sont de Louis Comfort Tiffany. Ce sont les seuls en France trouvés dans une église et ils sont classés "trésor national" . Le buffet de l'Orgue dont  les sculptures gothiques sont l'œuvre du maître Gunther Hamann, a nécessité 900 heures de travail. L'orgue avec ses quatre claviers fabriqués à Hambourg fut inauguré en 1988
Nous sommes passés devant l'immeuble Art Déco de la SEITA, entreprise française du tabac qui disposait du monopole de la culture du tabac en France jusqu'en 1970. Une frise (19) sur le fronton de la façade du 53 quai d'Orsay et une autre avenue Rapp relatent le travail du tabac.

 Nous avons terminé par la villa Bosquet (20)  ( petits hôtels particuliers dans une impasse privée ) et la cité de l'Alma .
 
Albert, très en forme, a continué son périple, (21)  vers des petits coins que lui seul connait  avec un petit groupe d'amicalistes sous la lumière des réverbères . (Compte rendu  G.P/ JM)

 

123456789101112131415161718192021  (Photos G.P.)

 

 

- La journée festive parisienne du 24 octobre 2013 par l'Opéra , les Noces de Jeannettes et le Musée Grévin

De Garnier à Grévin en passant chez Jeannette

Toutes les étoiles et les choristes de l’amicale, soit une quarantaine de personnes, s’étaient donné rendez-vous ce jeudi matin (24 octobre) sur les marches de l’Opéra de Paris pour une visite de l’unique monument « style Napoléon III » , bien qu’inauguré sous la troisième république par MacMahon en 1875. Le succès de cette sortie, proposée par Jacqueline Martinet,  fut tel que deux guides furent nécessaires pour nous faire visiter l’œuvre de Garnier (1) voulue par l’empereur mégalomane, dit « le petit » par son meilleur détracteur :Victor Hugo.

La débauche des marbres rares du monumental escalier à double révolution (2)  ne nous laisse pas de marbre. Tout comme le gigantesque foyer, telle une galerie des glaces (4)  mais en plus surchargé de dorures bon marché, car la république était déjà fauchée pour terminer l’ouvrage. Les sobres petites rotondes du soleil et de la lune reposent un instant nos yeux éblouis. Seule ombre au tableau si l’on peut dire : le grand plafond de Marc Chagall n’est qu’entr’aperçu dans la pénombre d’une loge pour cause de répétition technique. Il fallait être nyctalope, comme le prétend Gérard Leroux, pour en apprécier les charmes voilés. D’où une certaine grogne dans le public.

Pour nous remettre, nous filons cette fois vers les « Noces de Jeannette » (10 à 18 )  le restaurant jouxtant l’Opéra comique où l’on ne donne plus depuis longtemps l’œuvre éponyme de Victor Massé. La chère fut appréciée et les chœurs entonnèrent le classique «A LA… » au moment du dessert.

Ensuite ce fut la visite du Musée Grévin (19)  largement modernisé, sauf son classique salon des illusions orientales avec ses miroirs et ses tableaux changeants reflétés à l’infini. Côté cires, criantes de vérité, nous avons croisé des artistes comme Aznavour, Halliday,   franck Dubosc, (20) , les Vampes (21), Roumanov (22) ,Ray Charles (23) , Rostropovitch en novembre 1989 au pied du mur de Berlin,  des sportifs comme Tony Parker (25) ., des hommes de télé comme l’inoxydable Drucker (26), des gloires classiques du passé Napoléon (le grand), Marat, sa baignoire et Charlotte, Louis XV, Gandhi (27),  et les puissants d’hier Charles de Gaulle (28) et d’aujourd’hui  Sarko(29), Juan Carlos, Poutine, Obama, Merkel (30) . Question politique : François H entrera-t-il un jour dans ce panthéon de l’éphémère où résistent de vieilles gloires ? 

Merci Jacqueline

Philippe T.

 

 

123456789 101112131415161718192021222324252627 282930 (Compte rendu ¨PT - Photos GP  )

 

 

 

 

 

 

- La randonnée en forêt de Montmorency du 17 octobre 2013

Dix marcheurs (1)  étaient à ce dernier rendez-vous de l'année fixé par Lucien au départ de la gare de Taverny (Val d'Oise) aux randonneurs de l'amicale, pour un parcours en forêt de Montmorency avec dès le départ, un petit arrêt pour la visite de l'église Notre Dame de Taverny construite dans une seule et longue campagne sous Mathieu II de Montmorency entre 1200 et 1240. (2 -3) 

Malgré des passages d'équilibristes sur quelques sentiers trempés par les fortes pluies de la veille, un soleil automnal une agréable température et l'appréciable pause casse croute (7) !, étaient des facteurs prédominants pour dynamiser le groupe à parcourir d'une manière très décontractée, une belle boucle de 15 km par le Château de la Chasse (8) ( découvert  lors d'une précédente sortie en juin 2010), agrémentée de quelques beaux dénivelés (9) par ce domaine forestier où abondent de magnifiques châtaigniers donnant pour certains, une bonne occasion de se consacrer à un copieux ramassage de ces fruits de saison qui jonchaient le sol .

 Vestige bien étrange au cœur de cette forêt; une tour construite en 1863 par le baron Joseph Louis devait retenir notre attention (10)  mais, pour ce qui est de la faune sauvage pourtant importante dans ce massif forestier, nous aurons pour cette sortie comme seul tableau de chasse photographique, un héron (11) et une belle libellule qui s'était posée d'une manière impromptue sur le buste généreusement proposé par Maryannick (12) .

Une sortie très agréable qui laisse à penser que Lucien se verra très vite devoir proposer aux marcheurs de l'amicale d'autres parcours dans ce vaste secteur forestier du Val d'Oise ...

 

1 2 3 4 5 6 7 8 910 11 12    (Compte rendu HR/MJ  - Photos PG /GG /HR )

 

 

 

 

- La sortie "promenade" du 3 octobre 2013, à Montmartre

 

C'est Geneviève qui avait suggéré un retour à Montmartre où les amicalistes s'étaient encanaillés une première fois il y a une dizaine d'années. Philippe Thébault avait dit: «d'accord, mais la rue Lepic, on la descend, on ne la remonte pas!» N'empêche, qu'on démarre au métro Anvers ou au métro Lamarck-Caulaincourt, il faut monter. Le sort tomba sur Lamarck. Ce n'est pas un chemin de croix, mais il y a des stations.

 

D'abord l'ascenseur de la RATP pour éviter l'équivalent de quelque quatre étages d'escaliers, et puis les marches de la petite rue Pierre Dac jusqu'à la rue Saint-Vincent, popularisée par la chanson d'Aristide Bruant. Elle longe le mur du cimetière Saint-Vincent où reposent Steinlen, Arthur Honegger, Maurice Utrillo et Marcel Aymé.

Première station au coin de la rue des Saules où se trouve le cabaret du Lapin agile. Sa spécialité était le lapin sauté à la casserole, d'où le jeu de mot inventé par le caricaturiste André Gill (le lapin à Gill). Aristide Bruant en fut le propriétaire au début du XIXe siècle.

 

En face, on trouve le clos de vigne de Montmartre, planté en 1933 pour empêcher toute construction sur ce terrain de 1 556 mètres carrés (gamay et pinot noir). Production annuelle: 800 bouteilles. A quelques jours près, nous aurions pu participer aux vendanges, programmées pour la semaine suivante.

Deuxième station au coin de la rue de l'Abreuvoir où la «petite maison rose» reste telle que l'a peinte Maurice Utrillo. La maison voisine est celle du commandant Henry Lachouque, historien des campagnes de Napoléon.

 

Troisième station: place Dalida. Son buste en bronze érigé sur le lieu de l'ancien abreuvoir du village a été sculpté par Alain Aslan, né en 1930. A force d'être caressés par tous les passants, ses seins ont pris une couleur dorée, comme le gros orteil de Saint-Pierre baisé depuis des siècles au Vatican par les pélerins. Faites confiance aux amicalistes pour avoir sacrifié au rite!

Par l'allée des Brouillard, on longe à gauche le Château des Brouillards, ancienne «folie» du XVIIIe où habitèrent Nerval et Modigliani, et à droite la maison où résida Auguste Renoir, de 1890 à 1897.

 

 

 

 

De l'avenue Junot, on fait une incursion dans la villa Léandre, ouverte en 1926, et bordée de maisons de ville avec jardinet. Puis c'est la quatrième station devant la statue du Passe-Muraille réalisée en 1989 par Jean Marais en hommage au personnage inventé par Marcel Aymé.Par la rue Girardon, on rejoint la rue Lepic, pour la descendre, comme promis.

 

 

 

Cinquième station devant le Moulin de la Galette, vieux de 650 ans. Il inspira notamment Renoir et Van Gogh. Dans les années soixante, c'était des studios de télévisions. On y tournait notamment la mensuelle du Petit Conservatoire de la Chanson de Mireille. A l'origine, il y avait treize moulins sur la butte.

En croisant la rue Tholozé on a une vue sublime sur Paris avec, juste dans l'axe, le dôme doré des Invalides. Puis c'est la rue de l'Armée d'Orient qui commémore les combats dans les Balkans en 1914-1918.

 

Après la place Jean-Baptiste Clément, du nom de l'auteur du «Temps des Cerises», hymne de la Commune de Paris, sixième station au n° 13, devant le Bateau-Lavoir, reconstruit après un incendie en 1970. Braque et Picasso y créèrent le cubisme, aux côtés de Van Dongen et Juan Gris. Max Jacob, Apollinaire et Mac Orlan y inventèrent la poésie moderne.

 

Plus haut, au coin de la rue Norvins, septième station devant la fontaine de l'ancien Réservoir, premier château d’eau de Montmartre. C'est en 1835 qu'une tour octogonale y fut édifiée. Elle est aujourd'hui le siège de la commanderie du clos de Montmartre qui commercialise au prix de l'or le vin de Montmartre.

 

Huitième station rue Cortot, devant le Musée du vieux Montmartre. Renoir, Dufy, Valadon et Utrillo y ont habité.

Neuvième station à l'Eglise Saint-Pierre. Seul vestige de la grande abbaye de Montmartre, c'est la plus ancienne église de Paris après Saint-Germain des Prés et Saint-Martin des Champs. Construite au XIIe siècle sur le site d'une chapelle mérovingienne, elle présente une façade du XVIIIe siècle et des portes de bronze de 1980, dues au sculpteur italien Gismondi.

 

Dixième station par les rues Saint-Eleuthère et Azaïs jusqu'au Parvis du Sacré- Coeur pour admirer la vue sur Paris, un des plus beaux panoramas du monde. Il faut se faufiler parmi les touristes chinois, japonais, américains, brésiliens, anglais, allemands...

 

 

Puis c'est la descente par la rue Foyatier – des escaliers interminables - le long du funiculaire. Chapeau les amicalistes: ils ont encore de bonnes jambes!

 

 

 

 

 

 

 

Dernière station au Square Louise Michel pour admirer en contre plongée la vue sur le Sacré Coeur après un passage devant la fontaine des innocents, de style Art Nouveau, due à Emile Derré (1867-1938).

De la place Saint-Pierre, on rejoint la rue Steinkerque, bordée de boutiques pour touristes, qui se termine au boulevard de Rochechouart. On y trouve une brasserie pour le pot final, avant la débandade au métro Anvers, des 15 participants de cette sortie .

(Compte rendu JMT / Photos M J et BM )

 

 

 

- La sortie "promenade" du 20 juin 2013 dans le 17ème, quartier des Batignolles

 

 

 

 

- L'Armada de Rouen du 11 juin 2013

 

 Partis de la place de la Bastille tôt le matin, nous sommes arrivés 2 heures plus tard à Rouen par le pont Jeanne d’Arc, où du haut du pont nous avions un aperçu des grands voiliers accostés sur les rives droite et gauche de la Seine.

 

 Nous  avons tous  pris la direction des quais, en visite libre, pour admirer les plus grands mâts, les patrouilleurs, les frégates, les trois mâts goélette, les trois mats carrés, etc… Les plus beaux spécimens français étaient parmi cette armada, notamment le Belem, l’Atémis,  l’Etoile du Roy, frégate de 46,3m pour ne citer qu’eux. En plus, tous les villages installés sur les quais donnaient un air de « Vendée Globe ».

 

Après cette flânerie, nous nous sommes tous retrouvés au « Bistrot de Panurge » pour nous régaler d’un kir et d’un délicieux repas normand. Nous avons fait ensuite notre balade digestive en nous rendant à pied au quai d'embarquement pour notre croisière commentée au milieu des grands mâts. Puis, nous avons rejoint notre guide-conférencière pour la visite de la ville.

Nous avons ainsi pu découvrir : 

-          la place du Vieux Marché où Jeanne d’Arc fût brûlée le 30 mai 1431, avec ses maisons en pans de bois,

-          l'église Sainte-Jeanne d'Arc avec ses beaux vitraux Renaissance recueillis d'une église rasée en 1944.

-          le Palais de Justice – Parlement de Normandie, chef d'oeuvre de l'architecture gothique datant du début du XVIème siècle,

-          le gros Horloge, merveilleuse construction Renaissance formée d'un beffroi et d'une arche sculptée enjambant la rue, ornée de chaque côté d'un riche cadran d'horloge. doté d’un mécanisme du XIVème siècle,  avec une aiguille unique qui pointe l’heure,

-          En nous dirigeant vers la cathédrale, nous avons pu assister, par hasard, au défilé de la marine mexicaine en uniforme avec fanfare

-          la Cathédrale Notre Dame de Rouen, d’architecture gothique dotée d’une tour-lanterne et surmontée d’une flèche qui culmine à 151 m (la plus haute de France)

-          l'Aître Saint-Maclou, admirable ensemble architectural du XVIème siècle, composé de maisons à pans de bois, bordant une grande cour plantée d'arbres. Ce fut autrefois un cimetière de pestiférés Sur certaines colonnes soutenant les galeries, on distingue encore des sculptures représentant des figures macabres L'ossuaire était à l'étage. Aujourd'hui, l'Aître abrite l'école des beaux-arts.

Le temps passant très vite, il était l'heure de regagner notre car pour rentrer à Paris.   (Grognet Geneviève / Martinet Jacqueline)

12345 7 891011121314151617181920212223242526 (Photos Grognet G. / Martinet J.  /Thébault P.)

 

 

 

- La sortie "rando" du 6 juin 2013, au pays de Van-Gogh

Au départ de la gare de Valmondois, Lucien  avait proposé aux 11 marcheurs de rejoindre Auvers sur Oise par un sentier  aménagé le long de l’Oise,  une calme rivière, (1 à 4) se faisant pourtant  épisodiquement plus  tumultueuse lors d’impressionnantes crues (5)  …  Un charmant  parcours  ombragé  très appréciable pour cette magnifique journée ensoleillée,  bordé par de superbes demeures (6) où il aura fallu pour certains "dompter"  les différents portillons  placés sur ce trajet  empêchant ainsi toutes intrusions de véhicules (7)

Arrivés à Auvers sur Oise,  à l’exemple  de nombreux touristes, il s’imposait au groupe de s'arrêter devant l’Auberge Ravoux, (8)  dernière demeure de Van Gogh , incitant spontanément Lucien et Geneviève G de s'y installer  (9) comme le faisait, par le passé probablement, l'illustre personnage dont la statue sculptée par Zadkine (1961) était dressée à sa mémoire un peu plus loin (10).

A la sortie de la commune, c’est le parc et le château d’Auvers  datant du XVII émet siècle,(11 à 13) qui devaient  nous fasciner par l’abondance d’Iris,  fleur fétiche des impressionnistes qui abonde dans toute la cité et domaine de prédilection pour les nombreux insectes, comme l'abri d'hiver qui leur est réservé (14).

      

Après la pause casse-croute, comme à l’habitude toujours  très conviviale avec une pensée pour les pieds de vignes remarqués peu avant, (15 & 16)  c’est  par une rue d’un grand charme (17) que nous arrivons devant l’église d’Auvers sur Oise  immortalisée  depuis  1890 par une peinture  à l’huile sur toile (18 & 19) ..  Une grande œuvre exposée au musée d’Orsay de l’illustre peintre qui devait décéder peu après, reposant ainsi à jamais aux côtés de son frère cadet (mort en 1891 à Utrecht) , sur cette terre d’accueil (20) .

Après  un petit crochet  par le parc du Château de Mery sur Oise (21)  le groupe  devait reprendre  le chemin du retour  et comme il se doit avant de se séparer,  se désaltérer d’une boisson rafraichissante bienvenue, au café  de la  gare de Valmondois   

Une bien belle sortie, qui au delà des 13km900 parcourus, nous laissera surtout une très grande sensation de s’être imprégnés tout au long de cette belle journée ensoleillée, du passé et d’un  grand charme romantique de ce petit coin du Val d’Oise.

Merci Lucien pour cette superbe balade (HR/JM)

 

123456789101112131415161718192021  Photos G P /HR

 

 

 

 

- La sortie "promenade" du 23 mai 2013, autour du lac d'Enghien

      1,..2,..3,.…10,  nous sommes tous là  sur  le lieu de rendez-vous  dans cette immense gare du Nord où certains ont eu du mal à s’orienter. Chacun avait dû écouter la météo : nous étions pour la plupart bien emmitouflés (1) car ce fut une journée mouvementée : froid, vent, giboulées…et soleil.  

Comme pour nous  récompenser d’avoir fait cet effort,  le Transilien nouveau était arrivé (2) : sièges multicolores (3), écrans vantant les beautés de la région.

Après 20 minutes, Mariette nous attendait sur le quai de la  gare « Champ de courses d’Enghien «. 

Au cours de notre parcours, entre ville et bords du lac,  nous apercevons de magnifiques villas. Mariette nous convia à faire une petite halte au Centre des Arts  où nous avons pu apprécier « Virtualia, féeries numériques », une exposition (4)  qui rassemble des objets  ré-enchantés à l’aide des techniques d’illusion (5) comme une vidéo projection d’un circuit  imprimé sur une racine (6), des objets du spectacle datant du XIXème siècle par le clin d'oeil à la télévision 3D en relief, avec l'image du voyage sur le grand canal tirée du spectacle "Venise la Sérénissime (7).
Nous poursuivons ensuite notre périple autour du lac : la jetée, le Casino (8) , les Thermes, l’Hôtel du Lac pour nous diriger vers l’hippodrome où  nous accueillait René qui nous a régalés de ses recettes vosgiennes.

   Un grand merci à Mariette et René qui sous une pluie battante nous a tous raccompagnés  à la gare . (Commentaires photos et documents Marc Berçu )

 

12345bois  figuratif  avec une vidéo projection d’un circuit  imprimé sur une racine 6"Télé-Réalité" Clin d'oeil à la télévision 3D en relief. L'image du voyage sur le grand canal tirée du spectacle "Venise la Sérénissime).78 

 

 

- La sortie "rando du muguet" du 2 mai 2013, en forêt de chantilly

 

Les congés scolaires de la région parisienne cumulés avec une période de ponts, de nombreuses conditions réunies qui probablement expliquent le peu de participants à cette "rando"  du Muguet de ce 2 mai 2013!  Qu’importe pour les quatre marcheurs à ce rendez-vous (2), bien déterminés  et encouragés par un soleil voilé mais une température agréable pour se  donner  le plaisir d'effectuer après un petit déport en voiture de la gare d'Orry la Ville à Coye la Forêt, une boucle de 17km100 (1)  en longeant le domaine des 3 châteaux de Coye, puis la vaste propriété du Château de Bâillon ancienne propriété de Louis Bonaparte appartenant depuis les années 1980 à Khalifa ben Zayed Al Nahyane émir d'Abi et président des Emirats arabes Unis (3 document internet) .

Après une petit arrêt régénérant (4) à proximité du lavoir de Bâillon (5) sur la Thèves ou dandinait sur sa berge une famille d'oies bernaches (6), le petit groupe devait arriver devant  l’abbaye de Royaumont (7) avant de reprendre le chemin du retour par une longue voie droite tracée au cœur de la forêt pour une partie dans le Val d’Oise , et terminer cette sortie par un habituel pot de l'amitié à la terrasse d'un café de Coye,

Pour ce qui est de la cueillette du muguet qui n’était pas à ce rendez-vous annuel en raison d'une saison hivernale qui s'était prolongée,! nous devrons hélas patienter une année de plus en espérant avoir plus de chance que 2 mai 2013! (Compte rendu et photos HR) 

    

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