des photos par "clic" sur les imagettes
Déjeuner au Sanglier Bleu suivi du spectacle "Les Primaires" au théatre des 2 Ânes du 29 janvier 2017
des photos par "clic" sur les imagettes
DU SANGLIER BLEU AUX DEUX ÄNES .....
Pour notre traditionnelle sortie du Nouvel An, certes un peu tardive ce dimanche 29 janvier , nous avons joyeusement filé la métaphore animalière.
D'abord, déjeuner au Sanglier Bleu pour les 42 premiers inscrits.
Nous avons laissé en liste d'attente une bonne dizaine d'amis faute d'avoir pu enregistrer à temps leurs demandes, nos locaux ayant été occupés en raison des importantes négociations sociales en cours au siège.
Ensuite spectacle dans le théâtre voisin des 2 Ânes qui, comme le Canard Enchaîné, fête cette année 100 ans d'impertinence chansonnière. Dans ce contexte le bestiaire politique a été assaisonné dans une série de sketches intitulée : "Les primates...des primaires".
Pendant plus de deux heures les Fillon, Sarko, Ségolène, Hollande et compagnie ont été allègrement Karchérisés par une troupe animée par Jacques Mailhot, Michel Guidoni, Florence Brunold (impayable Ségolène et Angela), Jean-Pierre Marville.
Le déjeuner avait été suffisamment léger – Tartare de saumon, blancs de poulet à la polenta et pannacotta aux fruits rouges – pour que nous ayons encore l’esprit assez vif pour apprécier l’humour acidulé des chansonniers.
Nous avons tant ri à cette avalanche de bons mots que nous en avons peu retenus. Mais tel n’était pas le but sinon une cure de bonne humeur pour échapper à une glauque actualité politique. Bien que largement subventionnée par l’Amicale cette cure devrait être remboursée par la Sécu…
Enfin pour les curieux qui se demandent pourquoi le Sanglier est Bleu, la patronne du resto nous a expliqué que si le premier propriétaire avait choisi cette couleur c’est parce que dans le quartier de Montmartre il y avait déjà une Boule Blanche et un Moulin Rouge. Un sanglier est toujours dégusté à la fin des aventures d’Astérix. Nous, nous avons inversé l’ordre des facteurs. Rien d’étonnant à deux pas de l’ancien domicile d’André Breton, le pape du surréalisme.
(Philippe Thébault, avec Jacqueline Martinet)
(Photos: Gérard Podevin)
Publication R. Heinrich : janvier 2017
