14 novembre 2023 - Nous apprenons le décès ce 11 novembre à 71 ans, de Martine CLAUSSE

Martine, responsable adjointe du Service Formation Professionnelle de l'AFP pendant de nombreuses années, s'en est allée ce samedi 11 novembre 2023 à petits pas discrets (peu de temps après son départ à la retraite).

Pendant plus de 35 ans au service de l'AFP, Martine a été la figure tutélaire du service Formation Professionnelle de l'Agence. 

Ayant aidé, accompagné, soutenu un nombre important de collaboratrices et de collaborateurs des différents métiers de l'Agence (journalistes bien sûr, mais aussi ouvriers, techniciens, ingénieurs informaticiens, administratifs, commerciaux et j'en oublie).

Martine était appréciée de tous pour son esprit d'équipe, son écoute, ses conseils, son optimisme, sa bonne humeur. Tous savaient qu'ils pouvaient compter sur son soutien et sa discrétion. Elle avait à cœur de permettre à chacune et chacun d'évoluer dans sa profession ou de se diriger vers d'autres missions, fonctions ou métiers. 

En ce qui me concerne, Martine était un exemple pour moi, un support d'une force incroyable. Jamais résignée ou jamais déçue, toujours motivée, elle aimait son travail, sa mission, rien ne l'empêchait de venir travailler. Elle était toujours présente à son poste, même je me souviens, avec son bras en écharpe après s'être cassé le coude ou avec un bandeau sur la tête ou avec un mal de gorge.

Souvent, je le lui disais en riant, Martine "Vous êtes mon dictionnaire personnel !"  Elle était imbattable en français, ce qui était précieux pour le dyslexique que je suis. 

On s'est toujours vouvoyé, c'était notre complicité. Martine avait une culture générale et classique immense. C'était une source de connaissances intarissable.

Grâce à Martine, j'ai passé à ses côtés, 22 ans agréables et intellectuellement stimulants. C'était une collègue admirable, elle restera à jamais dans ma mémoire et dans mon cœur. 

Depuis le Morbihan où je réside maintenant, mes pensées vont vers son compagnon Alain et sa fille Lucie, ainsi que ses proches.

Je me fais le porte-parole de toutes les personnes qui ont croisé son chemin à l'AFP pour vous dire combien nous partageons votre chagrin et votre peine 

Amitiés ma chère Martine.- Thierry Chappé  (portrait de Martine transmis par sa famille)

Les obsèques de Martine ont eu lieu le 21 novembre avec une Bénédiction à St Germain de Charonne dans le 20ème suivie de l'inhumation au cimetière de Janville sur Juine.- Vous pouvez adresser des messages de sympathie à mcar75@free.fr

4 octobre 2023  - Nous apprenons  le récent décès de Robert VIGNERON

Né le 3 octobre 1938 à Paris 12 Robert était un véritable passionné de l’image. Sorti de l’école  avec un diplôme de mécanique de précision, il poursuivit le soir des études pendant plusieurs années. Diplômé, il trouva un poste chez Hollywood chewing-gum puis  à la société Luchaire (société d’armement ) pour terminer sa carrière comme chef du service des Achats à l’AFP.

Robert et Françoise  ont été pendant de longues années des Amicalistes actifs et avec les voyages nous ont laissé de très belles cassettes vidéos dont certains se souviennent avec nostalgie.

Le 6 octobre 2023 une infection pulmonaire l’emporta 3 jours après son anniversaire entouré des trois fils de Françoise qu’il avait adoptés. (Portrait d'Archives HR)

L'Amicale des Anciens adresse à Françoise, ses enfants et leurs proches, nos sincères condoléances

06 septembre 2023 - Nous avons appris avec une grande tristesse le décès de notre ancien collègue Erwan JOURAND, ce 4 septembre à Paris, des suites d’une crise cardiaque. Erwan avait 75 ans. Il était entré à l’AFP après des débuts en tant que faits-diversier, puis spécialiste Police-Justice dans la presse régionale à Marseille.

Au cours de sa carrière à l’AFP, il a notamment dirigé les bureaux de Johannesburg entre 1991 et 1993, puis de Dakar de 2004 à 2006. « Erwan était surtout un homme de terrain. Il adorait partir en reportage. Il avait vraiment le journalisme dans l’âme», se souvient Anne Penketh, une ancienne collègue, qui veut rappeler  « l’enthousiasme qu’il portait en lui en tant que reporter dans les situations très dangereuses à l’étranger avant de devenir chef de poste a Jobourg et à Dakar ».« Courageux, intelligent, pertinent dans ses analyses, toujours disponible », se remémore de son côté François Campredon, retraité en 2014 : « C'était un de ces reporters qui font honneur au journalisme. Il avait toujours une anecdote savoureuse à raconter autour d'un verre.  L'AFP lui doit beaucoup, vraiment beaucoup. »

Erwan Jourand a également travaillé au Bureau de Paris de 1994 à 2001, et occupé des fonctions dans différents desks. Il a pris sa retraite en 2013.

Un hommage lui a été rendu au Père-Lachaise vendredi 15 septembre à 14h30 au crématorium, salle Maumejean.

Vous pouvez adresser des messages de sympathie à Julien, le fils d’Erwan et de notre regrettée collègue Claire Rosember (décédée en 2022), en lui écrivant à cette adresse : julienjourand@gmail.com   (Information AFP reprise du fil "Aurore"- Photo avec Erwan en compagnie de  Claire décédée en 2022 ) 

20 juillet 2023 - Nous apprenons le décès à 73 ans d’Annick CHAPOY ce 16 juillet 2023 à Paris, des suites d’une longue maladie.

Annick avait quitté l’AFP en 2006. Dans son dernier poste, elle était cheffe de projet au Multimédia, particulièrement en charge des pages Environnement et Climat.

Annick était entrée à 24 ans à l'Agence. Sa carrière l’avait rapidement menée à New York, puis à Tokyo, comme adjointe au directeur. Elle avait gardé des liens forts avec le Japon et y était retournée plusieurs fois. Elle avait également travaillé à Lyon.

A Paris, elle avait fait plusieurs passages aux «Infos génés », et s’était en particulier occupée des Médias, puis, au service Société, des Sciences.

Après l’Agence, Annick avait d’ailleurs continué à écrire des articles pour la presse scientifique.

Sa retraite était occupée de façon très riche. Elle s’adonnait notamment au dessin, au cinéma, aux voyages, voyait ses amis.

Annick laisse une fille, Camille, et deux petits-fils.

Ses obsèques auront lieu lundi 24 juillet. Une cérémonie de crémation se déroulera de 12H30 à 13H00 au Crématorium du Père Lachaise, 71 rue des Rondeaux, 75020 Paris, suivie d’un verre commémoratif de 14H00 à 16H00 au domicile d’Annick, 18 rue Dupetit-Thouars, 75003 Paris, code B465A, 2ème étage.

La dispersion des cendres a eu lieu le 1er août au Jardin du Souvenir du cimetière du Père Lachaise, 16 rue du Repos, 75020 Paris.

Des messages d’amitiés peuvent être adressés à sa fille Camille, à l’adresse camille.chapoy@yahoo.fr   (Information AFP reprise du fil "l'Agence) 

20 juin 2023 - Par la Mutuelle du personnel de l'AFP nous apprenons le décès ce 20 juin à l'âge de 82 ans, d'Alexandre PONS.

Alexandre avait commencé sa carrière à l’Agence en qualité d’Ouvrier des transmissions au sein du service Terminaux du Texte.

Lors de diverses réorganisations des services techniques il avait rejoint le service Exploitation Postes de Travail, par la suite la production Multimédia, pour finir jusqu'à son départ en retraite, au service Exploitation Front Office.

Son inhumation a eu lieu au cimetière de Bormes-les-Mimosas (la commune ou il résidait depuis quelques années), le lundi 26 juin

..( HR avec le portrait tiré d'une photo 2013)

2 juin 2023 - Nous avons appris le décès de Jean-Michel STOULLIG, le 29 mai à l’âge de 75 ans.

 Jean-Michel a succombé à une soudaine infection pulmonaire, alors qu’il passait depuis dix ans une retraite active et enjouée, très impliqué notamment dans la vie de sa commune.

« Mercredi dernier encore, il était en train de faire le nettoyage de printemps du conseil citoyen de Villemomble dont il s’occupait », selon son épouse Sheila.

Jean-Michel avait rejoint l’AFP en 1978, venant de Reuters.

Il avait passé plusieurs mois en Iran pendant la crise des otages américains, avant d’être nommé directeur pour l’Afrique australe à Harare de 1981 à 1986, passant six mois comme envoyé spécial en Afrique du sud en pleine crise de l’apartheid. Il avait ensuite rejoint le bureau de Genève puis celui de Lyon comme adjoint, avant de partir à Washington en 1999. Pendant deux ans de 2001 à 2003, ce journaliste qui n’aimait pas la guerre avait couvert le Pentagone. Il avait ensuite dirigé le bureau de Vienne pendant quatre ans, jusqu’à fin 2007, puis avait terminé sa carrière comme responsable du desk Afrique.

Jean-Michel aimait aussi transmettre, enseignant pendant plusieurs années dans différentes écoles de journalisme, et encadrant volontiers les stagiaires de l’agence. À la retraite, il donnait de son temps pour du soutien scolaire.

Ses amis et collègues décrivent unanimement sa gentillesse, son « calme dans la tempête », son humanité. Jean-Michel aimait les gens, savait recevoir, était généreux.

Anticonformiste bienveillant, fan de musique et de lecture, fou de ses trois chats, Jean-Michel pratiquait la sculpture. La curiosité jamais éteinte, fasciné par les autres cultures, il voyageait beaucoup avec son épouse et avait tenu pendant plusieurs années un carnet de voyage plein d’humour, sous forme de blog,  https://jmstoullig.wordpress.com

Jean-Michel laisse son épouse Sheila, ses deux fils Sébastien et Olivier, et un petit-fils d’à peine un mois, Ezra.-Il est possible d’envoyer un message de sympathie à son épouse à l’adresse sstoullig@gmail.com

Une cérémonie à sa mémoire s'est déroulée le jeudi 8 juin à la salle de la Coupole du crématorium du Père-Lachaise,

(Information AFP reprise du fil "l'Agence) 

L'Amicale des Anciens adresse aux proches de notre adhérent, nos plus sincères condoléances

  31 mai 2023 - C'est avec une vive émotion que nous venons d'apprendre par Guy GUEGUEN, le décès de son épouse Juliette, survenu ce lundi 29 mai, à l'âge de 87 ans.  

Professeur de collège, notre grande amie a été très présente dans l'association depuis le départ en retraite de son mari Guy dans les années 1995, en l’accompagnant régulièrement aux nombreuses animations proposées par l’amicale tels les voyages, les sorties théâtrales et repas annuels des anciens.

 L'Amicale des Anciens adresse à notre ami Guy à son fils ses 6 petits enfants et son arrière petit fils, nos plus sincères condoléances

La mise en bière à eu lieu mardi 6 juin au funérarium de Juvisy-sur-Orge, suivie de la bénédiction en l'église de Juvisy, place du Maréchal Leclerc. (HR avec le portrait tiré d'une photo de 2016)

18 Avril 2023 - C’est avec une immense tristesse que nous avons appris le décès soudain, de Philippe VALAT à l’âge de 64 ans.

Ancien directeur du bureau de Bruxelles (2000-2003), au moment du traité de Nice (2001), du bureau de Paris (2005-2008) et du desk Europe (2013-2016), Philippe avait fait l’admiration de tous dès les premières années d’une riche carrière à l’Agence entamée en 1984 au desk puis à Lyon, lorsque, nommé à Beyrouth de 1988 à 1990, il avait couvert les affrontements intercommunautaires au Liban – un obus avait même traversé sa chambre.
Adjoint à Londres de 1992 à 1995, il avait également couvert le conflit en ex-Yougoslavie et la guerre du Golfe
D’une grande rigueur professionnelle, Philippe était un esprit libre, d’une vive intelligence, garant vigilant des valeurs de l’Agence auxquelles il tenait tant.   
Il avait pris sa retraite en 2020, au moment du Covid, ce qui nous avait privés de lui rendre l’hommage dû au journaliste et l’amitié que nous voulions lui témoigner.
Philippe partageait sa vie avec Nathalie Auriol, rencontrée à l'AFP, mère de ses deux enfants, Adèle et Hadrien, âgés de 27 et 24 ans.
Un premier hommage lui a été rendu ce lundi matin lors de la conférence.
La rédactrice en chef centrale, Sophie Huet, a salué « sa grande rigueur », l’évoquant comme un journaliste « avec lequel on pouvait toujours avoir des débats constructifs, très sensible, d’une grande finesse, d’une humilité incroyable et doté d’un humour qui faisait mouche à tous les coups ». « Je pense beaucoup à Nathalie et  à leurs deux enfants », a-t-elle ajouté.
Le directeur de l’Information, Phil Chetwynd, a décrit Philippe comme « très attachant ». « Il posait toujours des questions, intelligentes, pertinentes ». Il a relevé également que Philippe « avait beaucoup d’amis dans l’Agence » : « Nous sommes tous très tristes ce matin. »
Philippe sera inhumé à Villerville, le beau village du « Singe en Hiver » sur la côte normande, un endroit qu’il chérissait particulièrement (comme l’Auvergne à laquelle ses racines maternelles le rattachaient), à une date qui sera ultérieurement précisée. 
Vous pouvez adresser un hommage à Philippe à dirinfo-mobilite@afp.com.   (Information AFP reprise du fil "l'Agence) 

14 avril 2023 - Nous avons appris avec tristesse le décès de Françoise MEDGYESI le 4 avril 2023, une figure du reportage économique où elle avait passé l’essentiel d’une carrière de 36 ans à l’agence.

Françoise, en retraite depuis 2008, allait avoir 80 ans cet été. Elle avait connu ces dernières années de gros problèmes de santé, aggravés après un accident domestique l’an dernier, dont elle ne s’était pas remise.

C’était une femme d’une élégance unique, toujours très chic avec ses tailleurs Chanel aux couleurs vives, sa coiffure blonde et ses bijoux.

Sa connaissance du milieu boursier était exceptionnelle, nourrie de séances à la criée quand la bourse de Paris était encore au palais Brongniart, en face de l’agence.

Elle décrochait son téléphone et avait accès à tous les patrons, analystes, experts boursiers… Ses scoops étaient nombreux, et ses analyses toujours extrêmement pertinentes « and a good read » comme disent les anglophones, grâce à sa très belle écriture, ciselée, claire et élégante. Françoise avait ensuite été nommée à la rubrique « sujets transversaux », toujours au reportage économique.

Fine bouche et amatrice de chocolat noir dont elle avait toujours quelques bonbons dans les tiroirs de son bureau, cette collègue au caractère affirmé était également d’une culture impressionnante, avec un goût immodéré pour la musique classique, et l’opéra, particulièrement Wagner et la Tétralogie. Ces dernières années, elle avait développé une passion pour le ténor allemand Jonas Kaufmann.

Abonnée d’une multitude de salles de spectacles parisiennes, prenant depuis sa retraite des cours en lien avec l’art à la Sorbonne et au Louvre, Françoise pouvait traverser toute l’Europe pour aller écouter un opéra. Elle ne manquait bien sûr jamais le festival de Bayreuth, en Allemagne, temple du culte à Wagner. Mais elle avait aussi une prédilection pour le piano, et venait chaque année passer une semaine dans le sud de la France pour voir les plus grands pianistes au festival international du piano de la Roque d’Anthéron. Comme le chante Tosca, un opéra qu’elle adorait, Françoise « a vécu d’art ».

Ses obsèques seront célébrées lundi 17 avril à 14h30 au cimetière du père Lachaise, Chapelle de l’Est, entrée boulevard de Ménilmontant.

Pour celles et ceux qui souhaitent envoyer un message, voici l'adresse  mail de sa soeur : annabels-tituk@hotmail.fr (Information AFP reprise du fil "L'Agence "°

31 mars 2023 - C’est avec tristesse que nous venons d’apprendre par l’AFP, le soudain décès de Philippe BERTRAND survenu lundi 27 mars.

Philippe avait été embauché en 1988 au Service Ville dans lequel il a passé 4 années.

Au début des années 90, l’arrivée de l’informatique bouleverse les services techniques et crée de nouvelles opportunités dans lesquelles Philippe s’engouffre. 

Bien qu’étant titulaire d’une maîtrise en biologie, l’exploitation et la maintenance des systèmes ne le rebute pas et à force de travail et de formation il intègre le service informatique au sein duquel il passera la plus grande partie de sa carrière et sera même considéré comme un expert par ses collègues. 

Du service EMS au service Applications en passant par STML et SEBL au gré des restructurations, il aura donc participé à la mise en œuvre et au déploiement en France et à l’étranger des systèmes rédactionnels Phebus puis Delta avec professionnalisme doublé d’un fort enthousiasme lorsqu’il s’agissait du bureau de Bangkok, la Thaïlande étant une de ces destinations préférées. 

Il aura également assuré la couverture des JO de Sydney en 2000. Ce genre d’événement nécessitant l’envoi d’une équipe technique bien en avance, en additionnant les récupérations et congés des uns et les vacances des autres, Philippe, avec toute sa malice, nous avait souhaité par anticipation une bonne année 2001 au mois d’août avec un léger sourire en coin! C’était tout Philippe ça.  Il finit par quitter l’Agence en mars 2021. 

Philippe était également le bon camarade doté d’un humour sarcastique mais toujours juste. Nous pouvons dire de lui que c’était un homme droit et sincère.

 Au revoir Philippe ! (Info reprise de l’afp – Photo d’archives R. Doucet)  

Les funérailles ont eu lieu jeudi 6 avril en l’église St-Lubin, place Jeanne D’arc à Rambouillet

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 Réouverture du centre de santé René-Laborie rue Turbigo devenant : " Centre de Santé SoMeD René-Laborie "  avec des  prises de rendez-vous également accessibles dorénavant via Doctolib (juin 2023)   

 - 25 mars 2023 - Le centre de santé René-Laborie aurait retrouvé son repreneur avec la désignation du  gestionnaire de centres de santé "SoMeD".

SoMeD (400 employés aujourd'hui sur une quinzaine d’établissements de plus petite taille) prévoit de reprendre une centaine de salariés sur 132, d'après des chiffres fournis à l'AFP par le président et co-fondateur du groupe, Yehoram Houri, qui ambitionne de gérer une "quarantaine de centres de santé d'ici 2026/2028",

 27 février 2023: Le centre de santé René-Laborie rue Turbigo, en liquidation judiciaire dans l'obligation de fermer ses portes à partir du 16 février 2023 laissant selon le Parisien, les repreneurs à se manifester jusqu'au 3 mars. (Informations  GP)

 (à découvrir l'avis de liquidation judiciaire et la pétition lancée contre cette fermeture)

Aux dires des organisations syndicales, 3 repreneurs se seraient manifestés. « Plusieurs offres de reprise partielle ou totale, y compris avec les salariés, ont déjà été émises par plusieurs types d’opérateurs », aurait confirmé le président d’uMEn médical, dans un communiqué (1er mars 2023) 

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Janvier 2023 -  Pierre-Antoine DONNET, membre avec sa femme Monika de notre association, nous informe la parution depuis le  20 janvier 2023 aux éditions de l'Aube, de son dernier  livre ...  "Confucius aujourd'hui - Un héritage universaliste",  après "Le Dossier chinois, portrait d'un pays au bord de l'abîme " , paru en octobre 2022 .

Réhabilité en Chine depuis trois décennies après y avoir été ardemment combattu au début du xxe siècle puis pendant la sinistre Révolution culturelle (1966-1976), victime collatérale des profondes convulsions politiques que la Chine avait connues alors, Confucius a répandu sa philosophie de tolérance et de bienveillance à travers une bonne partie de l'Asie, jusqu'à influencer même le siècle des Lumières en Europe. La place que l'homme doit se donner sur cette planète, dans le respect du passé : voilà sans doute résumé le principal objet de la quête de vérité inlassable de Confucius. Dans ce livre, Pierre-Antoine Donnet braque le projecteur sur les artisans de la démocratie asiatique, et nous montre combien le confucianisme imprègne cette partie du monde aujourd'hui... et au-delà. Un héritage bien vivant, souvent pertinent encore, dans ce monde troublé.

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2022 12 02 - Nous venons d’apprendre le décès à Allauch, de Charles JOUVE survenu le 30 novembre à l’âge de 70 ans  

Bien que notre ami Charles Jouve ne figure pas dans les effectifs des anciens de l’Afp, il a été durant les années 1985 à presque 2000, l'interlocuteur technique hardware de la Sté Digilog d’Aix en Provence / Les-Milles en relation avec de nombreux techniciens de l’AFP.

Avec particulièrement ceux de la technique photo et les ingénieurs du service Recherche & Développement de l’Agence, il avait été chargé de la mise en service et du suivi du premier Desk Photo informatisé l’ IMPACT ", lancé fin 1984 et mis en service en 1986 à Mexico pour le Mundial de Football  (nb), avant son déploiement à grande échelle aux desks photo du siège puis dans les bureaux de Washington, Hong Kong, Nicosie, et au siège de l’EPA à Francfort.

Un collègue et ami qui au delà d’une relation professionnelle exceptionnelle accordait aux techniciens de l’AFP un sens incomparable de l’amitié.

Passion de sa commune et convivialité, comment ne pas se rappeler l’accueil que Charles réservait aux techniciens de l’AFP lors des sessions de formation à Aix / Les-Milles les recevant pour une soirée chez lui.

En prélude il proposait l’incontournable visite privée de l’une des plus belles crèches de Noël en Provence aménagée depuis 1978 dans le bassin de l’ancienne usine électrique au centre d’Allauch. Suivait au bord de la piscine dans le jardin de sa propriété, une dégustation de pizzas maison cuites au feu de bois par Charles le Pizzaiolo, quand il n’emmenait pas les Parigots de la place de la Bouse déguster des oursins en bord de mer lors d’autres stages.

Sollicité au cours de cette période de relation étroite avec l'AFP pour rejoindre la troupe des techniciens du siège, quitter sa ville d’Allauch lui était toutefois impossible. L'hommage parmi bien d’autres qui lui est actuellement rendu par les Allaudiens est une évidence de son choix professionnel de rester en Provence.

Salut l'Ami - (Roland et Régis, des anciens de la "Technique Photo" - Portrait de Régis Doucet) 

(nb) Un triste évènement et une occasion donnée pour revenir sur la période des évolutions techniques à l'AFP des années 1961 à 1996 par la reprise d’un article de Bernard Durègne (1933-2018), alors Directeur Technique de l'AFP  

2022/11/20 - Nous avons appris avec tristesse le décès cette année de Nadine Goasmat survenu à l’âge de 101 ans.

 Elle avait effectué toute sa carrière professionnelle au Service Commercial de l’AFP, en qualité de comptable. Dès sa retraite, elle avait adhéré à l’Amicale et ne manquait aucun repas annuel des retraités accompagnée de son époux, puis plus récemment de son fils Jean-Luc.

 En 2018, toujours souriante et élégante, nous avons pu la rencontrer au restaurant "Le Procope" pour une dernière fois à l'occasion du repas annuel des retraités de l'AFP. (C Vulliet)

Nous avons appris la disparition d'Aimé Pietri à l'âge de 91 ans, ancien correspondant de l'AFP en Corse. C'est une grande figure du journalisme insulaire qui s'en va.

Après avoir été enseignant pendant quinze ans, il s'était lancé dans le journalisme.Il a été correspondant de l'AFP pendant de longues années, de RMC, de RTL, de France Soir, des quotidiens italiens Corriere della Sera et La Nazione et du journal allemand Bild Zeitung.

Aimé Pietri a porté sur les fonts baptismaux le magazine Kyrn, les stations RCI (Radio Corse international) et Corse Info.

Il y a six ans, il avait publié Cinquante ans de journalisme en Corse, aux éditions Anima Corsa, un livre préfacé par Pascal Marchetti où il racontait ses souvenirs. Comme il le confiait dans une interview à Corse-Matin, il posait sur sa carrière "un regard encore passionné, assez attendri, toujours intéressé."

Il a été le témoin de nombre d'événements qui ont rythmé l'actualité de la Corse ces dernières décennies. Parmi ceux qui l'ont marqué, il citait d'emblée l'affaire des Boues Rouges. "J'ai vécu intensément l'affaire des Boues Rouges que j'ai lancée après avoir parcouru le "Corriere della Sera" où un titre avait retenu mon attention. Ce titre était "Colosso con permesso d'inquinare" (Colosse avec la permission de polluer). Le colosse était la holding Montedison, n° 1 de l'industrie italienne qui avait obtenu du gouvernement l'autorisation de déverser en mer, à quelques milles du Cap Corse, les effluents d'une de ses usines. De violentes manifestations soulevèrent l'île, un navire-citerne fut même plastiqué et le sous-préfet de Bastia molesté, la justice italienne fut saisie et condamna Montedison à cesser les déversements. Mieux que Greenpeace, les Corses ont gagné la première grande bataille pour la sauvegarde de l'environnement marin."

il avait également accordé une interview à CNI (Corse Net Infos), à l'occasion de la sortie de son livre Cinquante ans de journalisme en Corse. (Information reprise d'Aurore-AFP)

Pierre-Antoine DONNET, membre avec sa femme Monika de notre association, nous informe la parution le 20 octobre 2022, de son dernier ouvrage " Le Dossier chinois, portrait d'un pays au bord de l'abîme "  dans un travail collectif qu’il a dirigé pour les éditions du Cherche-Midi .

 A retrouver également ses précédents ouvrages: " Chine le grand prédateur " paru en décembre 2021 et " Le leadership mondial en question " paru en septembre 2020

25/05/2022 - Par l'AFP nous apprenons le décès de Véronique DECOUDU. Du Vietnam à Sarajevo, du Chili à l'Elysée, Véronique Decoudu, journaliste à l'AFP, s'est éteinte à 80 ans, dans la nuit du 21/22 juillet, des suites d'un cancer foudroyant.

Véronique était entrée à l'Agence France-Presse en 1968, pour "voir du pays" en allant au plus près chercher "les clés" du monde. Elle fut une des premières femmes reporters de guerre, avec comme premier le terrain le Vietnam. Elle y arrive en 1971 pour suivre l'armée sud-vietnamienne. L'année suivante, elle blessée sur la ligne de front au nord de Saïgon et évacuée en urgence. Trois semaines plus tard, elle était de retour sur le terrain.

Revenant régulièrement au Vietnam, où elle côtoya toutes les parties, elle est peu à peu appelée sur d'autres fronts: elle a notamment couvert la chute de Salvador Allende au Chili (1973) et la Révolution des Oeillets au Portugal (1974), avant de poser ses valises à Alger, alors une des capitales des non-alignés dans la tourmente du premier choc pétrolier. Elle décrit l'Algérie de Houari Boumédiène jusqu'à la mort du président en 1978.

Revenue en France, Véronique œuvre au début des années 80 à la transformation du "Desk d'Outre-mer" qui deviendra le "Desk Afrique-Asie", un des ancêtres du desk francophone actuel. Elle a occupé des postes à responsabilité, notamment au sein de la rédaction en chef, et a participé à la création du "Fret", le service France-étranger, devenu le Pôle International, où l'actualité française était traitée à destination des clients étrangers.

Nommée correspondante à l'Elysée lors du second septennat de François Mitterrand (1988-95), elle fut la seule journaliste à l'accompagner pour une visite de six heures à Sarajevo, destinée à forcer le blocus serbe de la capitale bosniaque.

Ce dimanche 28 juin 1992, elle écrit : "Pas une fenêtre n'est intacte, les façades sont labourées, de nombreuses maisons ne tiennent plus debout. Dans la rue piétonne qui mène au bazar, MM. Mitterrand et Izetbegovic ont déposé une rose là où, il y a un mois, un obus a tué une vingtaine de personnes".

Elle se rappelait en souriant du chemin du retour, alors que les tirs reprenaient sur le tarmac, que François Mitterrand, avait, "par galanterie" et sous les protestations acharnées de ses agents de sécurité, ôté son gilet pare-balles pour le lui donner, car elle n'en avait pas, ayant été embarquée à la dernière minute dans l'avion présidentiel depuis Lisbonne.

Journaliste rigoureuse, à la réputation d'excellence et de "sacrée tête de mule", militante syndicale à la CGT, elle avait soutenu de nombreux jeunes journalistes : "les lardons de la frisée", se qualifiaient-ils eux-mêmes, en référence affectueuse aux boucles toujours en bataille de Véronique.

Après son départ de l'Agence, Véronique Decoudu a continué à parcourir le monde, de la Corne de l’Afrique au Chiapas du sous-commandant Marcos. Elle vivait entre Paris et le Perche, dans une belle maison campagnarde où elle régalait ses amis de son inimitable recette de lapin en gibelotte, toujours avec "beaucoup de lardons".( Sofia Bouderbala)

16 juillet 2022 - C’est avec une immense tristesse que nous apprenons le décès à l’âge de 83 ans de Gérard LEROUX, membre du bureau de l’Amicale des Anciens de l'AFP, survenu dans la nuit du 15 au 16 juillet des suites d’une longue maladie.

Comme devait de nous l'évoquer Danielle sa femme, .. pour Gégé la randonnée s'est terminée hier soir vers les 23h30. Epuisé au cours de sa maladie par un chemin plein d'embûches, il s'est péniblement dirigé vers la voie Royale afin d'y trouver un éternel repos...   

Dès ses 17 ans Gérard Leroux aborde l’univers de l’information dans une Agence de Presse américaine rue Caumartin. A 18 ans devançant l’appel, il s’engage dans l’aéronavale. Il y filme les évènements de la base, fait des photos et diffuse le tout en actualités à destination des soldats et gradés du régiment.  Libéré de ses obligations militaires en 1960, il rejoindra l’Agence « AGIP » comme chef de laboratoire tout en se familiarisant au travail de Reporter Photographe.

  En 1967 à l’Agence des « Reporters Associés » dont sont issues les Agences « Gama » et « Sygma », il couvre les évènements mondiaux comme grand reporter en se distinguant particulièrement en 1969, dans l’affaire Cestas lui apportant une certaine notoriété dans la profession . En 1971 il rejoint le journal « Le Meilleur ». De reporter-photographe il y gravira de nombreux échelons (Chef de rédaction, Chef du service photo, Chef de la rédaction régionale et nationale)

  En 1984 avec une carrière déjà bien remplie, Gérard entre au service photo de l’AFP pour assurer jusqu’en 1986 la fonction de Rédacteur-Editeur au Desk Photo France. Son métier de photographe et son coup d’œil vont vite l’attirer vers un nouveau produit photo baptisé « Service Plus ». Gérard.. «Monsieur Plus», donnera toute sa mesure en éditant une palette de photographies couleurs pour les quotidiens habitués jusqu’à présent au noir et blanc. Ces valeurs ajoutées préfigureront en partie le lancement de la banque d’images à laquelle Gérard collaborera étroitement dès 1998.

  Il sillonnera alors la France entière pour faire découvrir aux éditeurs photos des journaux et magazines « Imageforum », le premier serveur photo de l’AFP. Une fonction qui lui

attribuera du reste le nouveau titre de « Monsieur l’Ambassadeur ».

  Avec son humour toujours inclassable, il était disponible et à l’écoute des abonnés les plus impatients. Il part en retraite de l’AFP en 2000 à 61 ans, pour aussitôt rejoindre l’Amicale des Anciens et y prendre une part très active dans l’animation de l’amicale, peu disposé à ranger ses boitiers photos jusqu’à ces dernières années..  

C’est lors de la 23ème assemblée plénière du 12 décembre 2001 de l’Amicale des Anciens, que Gérard alors « jeune retraité », devait suggérer la création d’un journal de liaison de notre association. Une proposition aussitôt actée par la diffusion dès janvier 2002 de la 1ère édition du journal des anciens de l’AFP qui, au-delà de rendre compte de cette première assemblée plénière de l’amicale du XXI siècle, donnait un large aperçu des activités de l’année passée comme des projets d’animations à venir.

  Trente-neuf éditions devaient y suivre au rythme de 1 à 3 par an que Gérard, omniprésent avec sa femme Danielle (sa muse) à la plupart des voyages, randonnées, sorties découvertes, spectacles et autres animations organisées par l’association, agrémentait les comptes rendus par de belles photos, constituant cette base de souvenirs des innombrables activités comme des participants amicalistes, pour nombreux disparus depuis.

  Expert dans le domaine de la photographie comme de la vidéo, Gégé reporter-photo attitré de l’Amicale, était ainsi le responsable incontesté de la publication de ces bulletins périodiques d’informations qui tout au long des années, rapportaient aux adhérents de Paris/Ile-de-France comme de Province, les nombreux évènements de l'amicale.

  Malgré l'ouverture d’un site web adopté lors de l’AG de 2012 auquel Gérard devait participer activement, rien ne pouvait se substituer efficacement à ces publications imprimées expédiées par la poste que les adhérents attendaient patiemment jusqu'à l’interruption de 2018 pour raison de santé de notre ami, l’obligeant à décrocher progressivement de ses multiples fonctions au bureau de l’amicale. - (HR avec le bureau de l’amicale sur des informations de Danielle Leroux et des reprises d'un message de Pierre Fernandez lors du départ en retraite de Gérard ) 

La cérémonie religieuse  a eu lieu le 22 juillet en l'église St Vincent de Paul, (10ème), suivie de l'inhumation dans le caveau familial de l’ancien cimetière de Franconville (95))

Au nom de tous les amis et membres de l’association, l’Amicale des Anciens adresse à Danielle sa femme, à Karine et Charles sa fille et gendre, à Lise et Guilhem ses petits enfants, nos plus sincères condoléances.    

Danielle Leroux, sa fille Karine, ses petits-enfants, Lise et Guilhem et sa famille ont été très sensibles au geste d’amitié qui fut fait par le bureau de l'Amicale. Les jolies fleurs déposées sur la demeure de Gérard agrémentent son tombeau et adoucissent, pour ceux qui restent, la froideur de la mort.

Nous remercions chaleureusement l’Amicale, tous les amicalistes et plus particulièrement Jacqueline Martinet, Roland Heinrich et Marie-Claude, Thérèse Braibant, Gérard et Brigitte Podevin, Michelle et Philippe Escriva, Mathilde et René Perez, Ben Adj Salem, Jean-Marc et Andrée Prilot, Françoise Beauchamp, Mariette Gérardin qui ont assisté à la cérémonie religieuse ainsi que Géneviève et Gérard Grognet présents au cimetière..

Merci également à tous ceux et celles qui nous ont témoigné des marques de sympathie et d’amitié, à Christiane Vulliet pour son soutien et son amitié chaleureuse, à Jean-Michel Tondre, Marc et Simone Berçu, Guy et Juliette Gueguen, Annie Lebas, Jany et à tant d’autres.

Grâce à tous, Gérard a rejoint les étoiles pour entrer dans la lumière éternelle.

27 juin 2022 - Ses enfants nous prient d’annoncer le décès de Josefina RUIZ YARINI, le 15 avril à Paris des suites d’une embolie pulmonaire, à âge de 79 ans.

Après avoir réussi à sortir de Cuba sous la dictature castriste, elle travailla pendant des années au desk Amlat de l’AFP, pépinière à la grande époque d’écrivains et de poètes, tout comme elle -tel le prix Nobel de littérature péruvien Mario Vargas Llosa.

Sa vie fut un roman, prise dans l’histoire agitée de son île: née en 1942 à La Havane d’une mère universitaire et d’un père co-fondateur du Parti communiste cubain, elle fuit à 16 ans le Cuba de Battista parce que des armes avaient été trouvées dans sa voiture. Elle travaille alors dans un cirque au Costa Rica.

Puis elle revient à Cuba après l’arrivée au pouvoir de Fidel Castro. Entre plusieurs mariages, elle devient journaliste et écrivaine, fréquente les milieux littéraires -Alejo Carpentier fut témoin à son deuxième mariage.

C’est à cette époque qu’elle assiste au célèbre discours de Fidel Castro « Paroles aux intellectuels », en 1961, qui marqua le début d’une censure féroce. Elle et ses proches-son père, ses amis - sont tous progressivement ostracisés, payant leur liberté d’esprit. Elle signe la fin des chroniques de cinéma qui lui permettaient de vivre lorsqu’elle fait le choix courageux d’épouser un écrivain lui-même déjà privé de travail par les censeurs.

En 1988, elle réussit à quitter le pays avec son fils, grâce à des amis diplomates, pour gagner Paris, où elle sera ensuite rejointe par ses deux filles.

Journaliste au Desk Am-Sud, elle quitte l’AFP en 2007, pour mener une vie paisible et retirée, gardant son regard aigu sur les choses et les gens, tout en continuant à suivre de près ce qui se passait dans son pays et en souffrant pour ses compatriotes.

Cultivée, brillante, incisive, passionnée d’histoire et de peinture, elle a écrit plusieurs livres, en anglais et en espagnol, dont une autobiographie romancée reflétant son humour et sa fantaisie.

Frappée par la maladie, elle est morte comme elle a vécu, en esprit rebelle et sans accepter de traitement ni d’ordre de qui que ce soit. (Information transmise par BIEDERMANN Florence)

02 mai 2022 - Par sa fille, nous apprenons le décès le 12 mars de Michel HENAULT, ancien chef du service des Sports, à l’âge de 84 ans, à la suite d’un cancer. 

Michel avait fait toute sa carrière à l’AFP : il y était entré en 1955, à 17 ans, comme porteur de dépêches dans la rédaction, pour la quitter en 1999. Il avait été le correspondant sportif de l’agence à New York de 1965 à 1973, notamment au faîte de la carrière du boxeur Mohamed Ali, puis avait regagné le reportage Sport de 1973 à 1980. Il avait ensuite dirigé le bureau de Buenos Aires de 1980 à 1985, au moment de la guerre des Malouines, restant en Argentine jusqu’à la fin de la dictature et au début de la transition démocratique.

Michel Hénault avait pris la tête du service des Sports en 1985, succédant à Charles Biétry parti à Canal+. De cette dernière période de sa carrière date un des grands scoops de l’AFP, grâce à une confirmation obtenue par Michel : le sprinter canadien Ben Johnson, qui avait battu Carl Lewis sur 100 mètres aux JO de Séoul, le 24 septembre 1988, avait été contrôlé positif au test anti-dopage et allait être disqualifié. L’AFP l’avait appris par la rumeur le 26 septembre, encore fallait-il confirmer celle-ci aux meilleures sources. Michel Hénault y parvient en contactant en pleine nuit le prince Alexandre de Mérode, qui présidait la commission médicale du CIO, et qu’il connaît bien.

L’histoire a été racontée dans plusieurs livres.

Selon les témoins interrogés par Xavier Baron dans « Le monde en direct », le prince de Mérode confirme explicitement l’information, mais refuse d’être cité comme source.

Dans le livre de Richard Moore « The dirtiest race in History », Charlie Whelan, un des envoyés spéciaux de l’agence aux JO, explique plutôt que le prince de Mérode n’avait pas voulu prononcer le nom de l’athlète dopé lors de la course des 100 mètres et que Michel lui avait alors lancé : « Si vous ne raccrochez pas dans les dix secondes, alors c’est Ben Johnson ».

Selon Charlie, le prince était alors longuement resté en ligne, silencieux, ne trahissant ainsi pas son devoir de discrétion, tout en laissant Michel Hénault faire la bonne déduction. Une situation un peu vertigineuse mais « Hénault était le chef, c’était un poids lourd, et il a dit +On y va + », a raconté Charlie.

Après avoir donné ce scoop, muet ou pas, tous les récits concordent à dire que le prince de Mérode avait ensuite laissé son téléphone décroché, ou intimé l’ordre à son hôtel de ne plus lui passer aucun correspondant, permettant ainsi à l’AFP de garder une avance énorme sur ce scoop planétaire.

Dans un autre livre, « AFP : une histoire de l’Agence France Presse (1944-1990) » de Bernard Ullmann et Jean Huteau, Michel Hénault confie que les deux heures séparant l’annonce de l’AFP de la première dépêche de la concurrente AP, lui ont paru « très longues ». L’agence Reuters a quant à elle cinq heures de retard et Libération titre que l’AFP a gagné « la médaille d’or du scoop ».

Pour obtenir des informations, Michel Hénault était « un champion dans le genre, à une toute autre époque où tout se faisait aux relations » qu’on avait su développer avec ses sources, résume aujourd’hui un de ses anciens collègues.

Lors de la Coupe du monde de foot 1994, le service des Sports avait également décroché un autre scoop mondial, avec l’aide du bureau de Buenos Aires : le contrôle positif de Diego Maradona après le match Argentine-Nigeria, qui avait provoqué son exclusion du tournoi. Michel Hénault était encore Chef des sports en 1996 lors d’un autre scoop sur l’attentat dans le parc olympique aux Jeux d’Atlanta.

Michel avait reçu les insignes de chevalier de la Légion d’Honneur en juillet 1999, année de sa retraite. Début 2001, il avait pris la tête de la Commission de la presse de la Fédération internationale de volley-ball. Il continuait à s’intéresser à l’actualité, mais sans pour autant maintenir de liens avec l’agence, à l’image de son caractère réservé, décrit par sa fille Marie-Hélène. Surtout, il avait eu à subir de grands drames familiaux, en particulier le décès à 19 ans de son fils – qui venait régulièrement à l’agence, comme vacataire au service des Sports – et, plus récemment, l'accident qui laisse sa fille gravement handicapée. Veuf depuis deux ans, et vivant dans le même immeuble qu’elle à Saint-Maur-des Fossés, Michel s’en occupait quotidiennement.   (Information reprise d'Aurore-AFP)

Des messages de sympathie peuvent lui être adressés à mariehelenelemout@gmail.com       

23 avril 2022 - Nous apprenons le décès de Charles SICURANI à l'âge de 75 ans.

Une stature qui en imposait, souvent en pull et veston, avec une vraie « gueule » au menton carré, une belle voix grave et une poignée de mains directe et chaleureuse. Notre « grand Charles » Sicurani est décédé brutalement jeudi, à l’âge de 75 ans. Il avait été pour l’agence un de ses plus mémorables journalistes accrédités au ministère de l’Intérieur.) Journaliste à Beauce Matin, puis au Parisien Libéré, Charles était entré à l’AFP en  1985, pour couvrir la banlieue sud, avant d’être nommé accrédité à Beauvau. Il y avait remplacé Georges-André Euloge, qui semblait irremplaçable tant il avait multiplié les scoops. Mais Charles s’est inscrit immédiatement dans cette tradition. 

Avant même d’arriver au ministère de l’Intérieur, il avait d’ailleurs obtenu le scoop de l’arrestation du commando d’Action directe à Vitry-aux-Loges, près d’Orléans, en 1987.

(Portrait d'archives Amicale de 2021

Parmi ses nombreux autres faits d’arme, il y a le suivi en direct du dénouement de la prise d’otages du GIA sur l’aéroport de Marignane  à Noël 1994, un des premiers actes majeurs du terrorisme islamiste sur le sol français, qui allait occuper une grande partie de la fin de sa carrière. Charles Sicurani était aux premières loges, puisqu’il avait été admis dans la salle de commandement du ministère… Avec pour seule obligation de s’assurer que les infos qu’il donnait en direct n’étaient pas de nature à mettre en danger les otages et l’opération de police.

En mars 2012, alors que l’époque avait changé, il était encore dans la salle de commandement pour suivre l’assaut contre la planque de Mohamed Merah à Toulouse, autant de preuves de la relation de confiance qu’il avait su bâtir avec les policiers, des fonctionnaires de base aux plus hauts responsables. Autre coup d’éclat, l’arrestation en 2003 du berger corse Yvan Colonna, recherché pour l’assassinat cinq ans plus tôt du préfet de Corse Claude Erignac. Charles avait donné la nouvelle quelques minutes avant que Nicolas Sarkozy ne l’annonce en direct lors d’un meeting. Un dossier corse dont il connaissait par cœur le volet policier.

Quand des infos sortaient dans d’autres médias, ce qui est courant dans ce domaine très concurrentiel du fait divers, Charles restait impassible. Il savait qu’il les récupérerait et surtout il savait que lorsque cela compterait vraiment, il serait le premier.

Il était installé dans un petit bureau, dans la cour de la place Beauvau, où, sans se lever, il pouvait surveiller les allées et venues pour croiser l’air de rien les sources à qui il convenait de parler au moment opportun.

Une anecdote pour expliquer le journalisme de terrain tel que le pratiquait Charles Sicurani . Sans forcément avoir de tuyaux, ce grand insomniaque arrivait souvent le mardi vers 05H00 du matin à son bureau. Pourquoi le mardi ? Parce que c’est ce jour-là qu’étaient alors en général lancées les opérations antiterroristes : le bon jour pour boucler les quatre jours de garde à vue avant de partir en week-end le vendredi soir… Charles s’installait sur une des tables jouxtant la machine à café près de l’escalier menant aux RG (Renseignements généraux), petit noir et Gauloise en main. Les policiers arrivaient un par un et, dans cette ambiance du petit matin propice aux confidences,  se livraient volontiers à cette figure bien connue à la silhouette facilement reconnaissable.

 Charles était respecté autant par ses confrères que par les policiers, sources particulièrement difficiles à apprivoiser, et par les ministres de l’Intérieur successifs et leurs équipes.

Dans un univers de « rubricards police » aux égos souvent très importants, Charles était un journaliste très confraternel, jouant collectif, très attaché à l’AFP comme institution.

Totalement dévoué à l’Agence et à son travail, souvent réveillé la nuit sans jamais se plaindre, Charles était aussi un personnage discret, voire secret, avec qui on pouvait rester des heures à discuter pour peser chaque mot, la manière d’appréhender une affaire tordue ou écouter ses récits fascinants des coulisses du ministère. Un homme très droit, d’une grande rigueur intellectuelle.

Depuis sa retraite fin 2012, qu’il avait prise dans l’Essonne, Charles avait l’intention de se mettre au théâtre et de s’améliorer aux échecs. Il lisait et écrivait beaucoup. Mais rien ne lui avait fait oublier ses années à l’Agence et à Beauvau, qu’il évoquait avec plaisir et nostalgie en famille ou avec d’anciens collègues comme lors de rencontres en compagnie de sa femme, aux sorties de l'Amicale des Anciens de l'AFP.

Charles laisse son épouse Joëlle et une fille, Pascale, qui est juriste. (Information reprise d'Aurore-AFP)

Un temps de recueillement à sa mémoire a eu lieu le 29 avril au funérarium d’Evry-Courcouronnes 2, impasse du Rondeau, suivi de la crémation, dans l’intimité, suivant les désirs de Charles. Une cérémonie religieuse a eu lieu le même jour à 15H00 en l’Eglise Notre-Dame de Ris Orangis, suivie de l’inhumation au cimetière de la ville. Des courriers peuvent être adressés à Madame Sicurani, 11 rue des Mazières, 91000 Evry

L'Amicale des Anciens adresse à Joëlle sa femme adhérente avec Charles de notre association, à sa fille Pascale et leurs proches, nos plus sincères condoléances

25  avril 2022 - Nous apprenons le décès à Paris le 11 avril 2022 de Nicole Mazeau à 85 ans

Adhérente de l'Amicale depuis son départ en retraite, Nicole a été engagée à l'AFP comme dactylo et à ce titre collaboratrice du Bulletin Afrique en anglais de l'AFP,

Appréciée pour son dynamisme et  son franc parler, elle y poursuivit sa carrière comme secrétaire et collaboratrice de différents titulaires de postes directoriaux (Georges  Herbouze, Hubert Lafrance, Michel Saint-Pol ...), puis de  PDGs notamment Henri Pigeat et Jean-Louis Guillaud.

 Nullement abattue par la maladie, elle est décédée à l'hôpital le 11  avril 2022 et a été incinérée après une cérémonie religieuse à l'église Saint-Lambert, à Paris le 19 avril 2022. (Informations reçue d’Yves Bourgade / Portrait d'archives Amicale de 2015)

L'Amicale des anciens adresse à ses proches, nos plus sincères condoléances

13 avril 2022 - Nous apprenons le décès de Claire ROSEMBERG à l'âge de 73 ans.

C'est avec une immense tristesse que nous avons appris le décès à Paris de Claire Rosemberg, ancienne collaboratrice AFP, après un vaillant combat contre le cancer.

Claire est née à Paris mais elle considérait Melbourne comme sa vraie ville d'origine. Elle y avait émigré lorsqu'elle avait trois ans, avec sa sœur et ses parents : son père, français né en Autriche dans une famille d’origine juive, qui avait combattu pendant la guerre dans la 2ème DB, participant à la libération à l’est de la France, et sa mère, savoyarde, communiste et résistante.Elle a fait une brillante carrière à l'AFP pendant plus de vingt ans, au long de laquelle elle a principalement vécu en Europe mais aussi en Afrique pendant quelques années.

Diplômée de la prestigieuse Melbourne University et de Sciences Po Paris, elle a débuté sa carrière journalistique en tant que pigiste au Nicaragua, couvrant notamment le renversement du régime dictatorial du président Anastasio Somoza Debayle en 1979. De ces années elle avait tiré un livre, Nicaragua, avec les photos de son amie Susan Meiselas, photographe à l’agence Magnum.

Elle s'est ensuite installée à Paris où elle a travaillé pour plusieurs journaux australiens, en particulier The Age of Melbourne et The Sydney Morning Herald,  obtenant des interviews prestigieuses, Françoise Sagan, Graham Greene ou José Luis Borges.

Claire reste ensuite huit ans à l'agence de presse UPI, puis 14 ans chez Reuters, avant d’être embauchée par l’AFP au début des années 90.

À l'agence, elle a occupé plusieurs postes  importants à Paris, notamment adjointe au chef du desk anglais, coordinatrice anglophone pour l'Afrique, puis adjointe au chef de la rédaction à Bruxelles de 2010 à 2014. Elle a également ouvert la voie en devenant la première coordinatrice lifestyle anglophone de l'Agence, basée à Paris.

Avec un goût d’informer insatiable, elle avait repris les piges en s’expatriant avec son époux journaliste à l’AFP, Erwan Jourand,  à Johannesbourg de 1991 à 1993 et à Dakar de 2004 à 2006. Elle avait travaillé en Afrique du Sud pour plusieurs médias britanniques, The Sunday Times, The Daily Telegraph, la BBC, et à Dakar pour l’agence des Nations-Unie Irin (devenue The New Humanitarian), couvrant toute l’Afrique de l’ouest.

C'était une journaliste brillante et perspicace, à l'aise pour analyser des accords complexes négociés en pleine nuit à Bruxelles, capable de donner une touche légère et singulière à ses "papiers", et, au desk, de remettre en forme les copies les plus bâclées.  

Claire avait un esprit chaleureux, même si volontiers ironique, et elle a bâti de nombreuses amitiés durables au sein de tous les services de l'AFP.

Elle avait une grande connaissance de la France et de sa culture, et l'aimait comme son propre pays. Elle est partie à la retraite en 2017 en se joignant peu après à l'Amicale des Anciens de l'AFP. Elle revoyait avec plaisir ses amis dans son cher Montmartre et s’occupait d’accueil et d’aide aux personnes réfugiées.

Outre son ex-mari Erwan, Claire laisse derrière elle son fils Julien, 33 ans, conservateur du Patrimoine, et Ali, son compagnon ces dernières années.

 (Information reprise d'Aurore-AFP)

La cérémonie des obsèques de Claire ont eu lieu le 25 avril au columbarium du cimetière du Père Lachaise, 71 rue des Rondeaux à Paris.

Vous pouvez envoyer vos messages à Julien à l'adresse suivante : julienjourand@gmail.com

24 février 2022 -  Nous apprenons par l'AFP le décès de Jean-Pierre MULLER le dimanche 20 février 2022 dans son jardin toulousain, à la suite d’un malaise. En retraite depuis 2016, il allait avoir 69 ans.

Il était entré à l’AFP comme photographe pigiste à Toulouse dans les années 70, auprès notamment de Jean-Claude Delmas, qui a annoncé son décès sur Facebook.

Il avait été embauché au reportage à Paris en 1988, avant de revenir à Toulouse deux ans plus tard, de repartir à Paris en 1999 et de passer à Bordeaux les dix dernières années de sa carrière

Fils d’un père alsacien et d’une mère d’origine algérienne dont, en compagnie de ses sœurs, il s’était occupé avec une tendresse remarquable, Jean-Pierre était tout en contrastes. D’une bougonnerie souvent hilarante,– ses grandes envolées sur tous thèmes débutant par « mais ouiiiii ! » mais s’achèvant invariablement par « mais nooooon ! » l’avaient fait surnommer «  mais oui mais non » par ses collègues, mais « sans mesquinerie » remarque Damien Meyer. Il avait toujours « un commentaire pour rire, pour s’étonner et pour réfléchir, c'était un très bon camarade » (Thomas Coex).

C’était une vedette, un lève-tôt qui ne voyait guère d’intérêt aux vacances, « un mec entier, juste, droit » et qui avait été « un acteur déterminant, un défenseur acharné » de la bataille des photographes pour la reconnaissance de leurs droits d’auteur (Joël Saget).Mais c’était aussi un homme pudique, d’une grande délicatesse, à la «sensibilité parfois mélancolique» (Damien Meyer).

Jean-Pierre était fou de photo, avait eu son propre studio à domicile. Pour l’agence, il allait avec un égal entrain des plages de surf du sud-ouest, aux meetings politiques, aux reportages à

l’étranger.

Mais sa signature reste attachée, rappelle Thomas Coex, à de « superbes photos de défilés de mode, un plaisir permanent pour les yeux ». Dominique Ageorges, qui couvrait en texte la mode avec lui, se souvient de « son sourire et de ses yeux gourmands, à chaque fois qu'on allait faire un reportage chez un fournisseur de la haute couture - brodeurs, plumassiers et autres bottiers ». 

Et d’un voyage au Niger dans le cadre du Festival international de la mode en Afrique, dont un tirage de Jean-Pierre, représentant un mannequin marchant près du fleuve Niger en longue robe Saint Laurent, « a trôné dans le bureau de la directrice de la communication jusqu’à la fermeture de la maison de couture ». Il avait couvert aussi les adieux d'Yves Saint Laurent, son dernier défilé en janvier 2002, captant l'émotion du couturier pétrifié, entouré des plus grands mannequins et actrices de l'époque.

Jean-Pierre « disait qu’il n’aurait jamais imaginé faire autant de choses » dans sa carrière, selon son ami journaliste René Girma, avec lequel il parlait au téléphone chaque début de soirée. 

En retraite, il faisait moins de photos, sauf de temps en temps pour accompagner les papiers de cet ami, et préférait désormais tracer à bord de son 420 sur les eaux du lac de la Ganguise, non loin de Toulouse. Jean-Pierre avait un fils et une fille, Yogan et Laura, qu'il adorait.

Une messe à été  célébrée le 2 mars à l’Eglise des Minimes à Toulouse suivie dans l'après-midi d'une crémation, car Jean-Pierre souhaitait que ses cendres rejoignent la Méditerranée, trait d'union entre la France et son Algérie natale. 

Des messages de sympathie peuvent être envoyés à sa famille à l'adresse mail de sa fille : laura.muller10@gmail.com  (Info et portrait AFP: L'Agence)

15/02/2022 - Nous venons d'apprendre le décès dans la nuit le 14 février, de Jean-Claude CHEVIGNON à l’âge de 77ans

En retraite depuis 2002, Jean Claude sortant de la Marine Nationale devait débuter sa carrière à l'AFP en 1976 au service des radios techniciens.

Durant cette période il a sillonné tous les continents excepté le continent européen, commençant par des missions en Afrique, puis en Amérique Latine ainsi que sur le continent Asiatique .

Par la suite il a été affecté au service péri-informatique avant d'assurer à Tokyo le poste de directeur technique de la zone Asie Pacifique de 1985 à 1990  puis ultérieurement basé à Chypre pour les bureaux de cette zone.

Ses obsèques ont eu lieu dans son village natal à l'église de St Symphorien de Lay  42470 le vendredi 18 février . 

 Les personnes souhaitant envoyer un message de sympathie à sa famille peuvent s'adresser à sa fille: clothildechevignon@hotmail.com

 (Informations HR avec la famille - Photo André Colombat "le Progrès" )

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26 janvier 2022 - nous relayons l'information de l'AFP nous avons apprenant le décès de Humberto ZUMARAN à l’âge de 85 ans, le week-end dernier à Santiago du Chili

Humberto avait pris sa retraite en 2002 après plus de 26 ans de carrière à l’AFP, durant laquelle il a été journaliste et directeur du bureau de Santiago.

Il avait commencé à travailler pour l’Agence pendant une période très difficile pour le Chili, lorsque le pays était sous la dictature d’Augusto Pinochet (1973-1990) et il a, par la suite, pu être témoin du long et laborieux chemin vers la démocratie.

Durant ses dernières années, après sa retraite, il a été correspondant au Chili pour Radio Programas del Perú (plus grand réseau radio du Pérou), où il envoyait régulièrement des notes accompagnées d’audios et vidéos traitant des premières années de retour à la démocratie.

Il était alors courant de le retrouver à midi dans un café du centre-ville de Santiago, où il avait pour habitude de se réunir avec d’anciens et nouveaux collègues pour « refaire le monde », comme il disait.

En 2018 il a participé à l’ouvrage « Corresponsales bajo dictadura (correspondants sous dictature) – Chile 1973-1990 », œuvre collective réunissant le travail de 17 journalistes chiliens qui ont collaboré avec différents médias internationaux au long de cette période.  (Information et portrait AFP)

17 janvier 2022 - Par l’AFP nous apprenons le décès de Jean VIREBAYRE, à 72 ans dans la nuit de vendredi 21/22 janvier à Mende, à la suite d’une longue maladie.

Il avait quitté l’agence en 2005 après trente-quatre ans d’une carrière particulièrement riche,

Entré à l’agence en 1971 à 21 ans au service des Sports, il part ensuite au bureau de Rome de 1972 à 1976, puis à Madrid de 1976 à 1981, où il devient adjoint du directeur.

De retour en France, Jean ouvre le premier bureau détaché à Bayonne de 1981 à 1983, puis tient celui d’Ajaccio de 1983 à 1984, avant de prendre la direction du bureau de Lyon de 1984 à 1990, et celle du bureau de Marseille de 1990 à 1995, avant une nouvelle expatriation à Buenos Aires de 1995 à 1999.

Il termine sa carrière à l’agence à Paris, comme responsable de la rubrique football pendant six ans. Un domaine qu’il n’avait pas lâché après son départ de l’agence, collaborant au site de la FIFA pendant plusieurs années.

En retraite, Jean partageait son temps entre sa maison de Catalogne, tout près de Barcelone où travaille son fils, et sa maison de Chanac, en Lozère, berceau de la famille auquel était aussi attaché son père Charles, ancien résistant, et un des tout premiers journalistes de l’agence en 1944. Il l’avait quittée en 1980 après une carrière dévolue à des postes à responsabilité en province, terminant comme directeur du bureau de Marseille, dix ans avant que Jean n’y vienne occuper la même fonction.

En Lozère, Jean, fort caractère, très bon vivant, doté d’un puissant sens de l’amitié, aimait arpenter le Causse, accompagné de son chien, ou rechercher des champignons. Sans jamais s’éloigner de l’information sous tous ses aspects. Notamment, mais pas seulement, celle du foot et celle du rugby : il suivait de près l’actualité de Bordeaux-Bègles, son club de jeunesse. « Jean était un paysan passionné de l’information, un journaliste avec le cœur aussi grand que la gueule », résume un de ses amis.

Il laisse son épouse, Anna, et leurs deux enfants, François et Nathalie.- Conformément à ses souhaits, il n’y aura pas de cérémonie d’obsèques.

Des messages de sympathie peuvent toutefois être adressés à son fils à l’adresse virebayre@gmail.com     (Inforrmation et portrait :AFP)

7 Janvier 2022 - Information rétroactive ... du décès de Paul GARNIER en 2018 à 97 ans.

C'est lors d'un récent échange de courriels avec le fils de Paul GARNIER, que nous venons seulement d'apprendre le décès de son père en 2018.

Membre de l’Amicale des Anciens depuis 1980 avec sa femme Raymonde,   Paul avait été proposé par le Président Jacques Bronsart membre d’Honneur de l’Association au cours de l’AG de décembre 2006.,.

Comme vient de nous le rappeler son fils, Paul a été opérateur radio à l'AFP de l'immédiat après-guerre  jusqu'à sa préretraite  (ou peut-être licenciement économique lors de la transformation technologique des rédactions de l’AFP) en 1980 .. Il avait rencontré son épouse (décédée en 2014), à l’AFP dans les années 50 alors qu’elle y travaillait également.

( portrait de 1991 et   "Extraits des mémoires de Garnier Paul"  remis par le fils de Paul)

   Nous gardons de belles pensées chargées de beaux souvenirs, en particulier avec les aînés qui nous ont précédés.

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28 décembre 2021 - C'est avec grand retard que nous apprenons le décès à 86 ans, de Marie-Jeannine GRETTE le 13 septembre 2021 à Pulversheim (68) ou elle demeurait.

Adhérente de Province à notre Amicale des Anciens, Grette avait été pour une grande partie de sa carrière professionnelle au service des sténos de presse

17 décembre 2021 - Après la parution en septembre 2020 de son livre "Le leadership mondial en question" (voir notre information), Pierre-Antoine DONNET,

ancien rédacteur en chef central de l'AFP dont il a été le correspondant à Pékin et à New York, membre avec sa femme Monika de notre association, nous fait part de la récente sortie de son nouveau livre : " Chine le grand prédateur " (nb), publié par les éditions de l'Aube (nb), Un ouvrage qui sera publié en langue japonaise en février 2022 à Tokyo et en langue chinoise à Taïwan peu après.

(nb): Condition privilégiée d'achat du livre aux amicalistes de l’AFP, à voir auprès de information@amicaleafp.fr)

14 décembre 2021 - Nous apprenons le décès accidentel de Gilles COLLIN à l'âge de 61 ans en Seine-et-Marne sur l'Autoroute A6 à la hauteur de St-Sauveur-sur-Ecole. Gilles avant quitté l'AFP en novembre 2020.

Un tragique accident de voiture nous a enlevé le lundi 13 décembre un collègue que nous apprécions tous.

Gilles a rejoint les rangs de la direction technique (la DSI de l'époque) en 1984 après avoir suivi une formation de technicien supérieur à l’Ecole Supérieure de Technologie Electrique, l’ancienne école Bréguet.

Sa carrière a principalement été consacrée à façonner le LAN, Local Area Network de l’entreprise, le réseau interne qui permet d’acheminer toutes les données de nos systèmes informatiques.

Gilles s’était également engagé avec ténacité dans une démarche sociale pour soutenir et accompagner sans relâche toutes les personnes qui l’entouraient..

Il a quitté notre entreprise il n'y a que quelques mois pour se consacrer à sa passion, le modélisme ferroviaire (http://gilles.cn.free.fr).

 Nos pensées resteront à jamais marquées par son esprit positif et investi ((Information et portrait repris de l'AFP)

Les obsèques de Gilles se sont tenue le Mardi 28 Décembre 2021 à 16h00 en l’Église Saint-Clément à Arpajon.

28 octobre 2021 - C’est avec une grande tristesse que ses amis et ses anciens collègues ont appris le décès de Gérard DANIEL à l’âge de 69 ans.

Gérard était entré à l’Agence en tant qu’électricien le 21 janvier 1974, en d’autres temps. Il a fait toute sa carrière au service Electrique au sein des Moyens Généraux.

C’était un câbleur hors pair dont la qualité du travail était très appréciée. La téléphonie était devenue son domaine de prédilection.

Il a été un élément moteur sur la gestion de la téléphonie traditionnelle et de tout son environnement technique. Il a ainsi longtemps œuvré autour de l’autocom du siège qui, à l’époque, se trouvait dans un local technique dédié au sous-sol où il disposait de son poste de travail. Il a su par la suite s’adapter à l’évolution technique avec le passage au « tout numérique ».

Il faisait partie de ceux qui assurent ces « tâches invisibles » mais indispensables au bon fonctionnement de l’ensemble de l’Agence. Jusqu’à son départ en 2017, il a assuré les nombreuses mises à jour de l’annuaire mondial de l’Agence qui alimente l’intranet, ASAP hier, AURORE aujourd’hui.

Nous gardons de lui le souvenir d’un garçon convivial, consciencieux et bienveillant. Nous nous associons à la douleur de sa famille, notamment sa compagne Brigitte et son fils Willy - (Information et portrait repris de l'AFP).

Un mémorable souvenir pour un retraité ancien collègue et ami, rapportant l'installation du bureau de Rouen-St Sever (Téléphone, Electricité, Onduleur etc. ) ...Un mois de dur labeur avec la bonne humeur communicative de Gérard pour des travaux terminés en un temps record où en remerciement, tous deux furent invités par le Directeur de ce bureau à l’Hôtel de Dieppe à Rouen, pour un succulent déjeuner avec en plat principal une fabuleuse spécialité de la vallée de Seine : l’incontournable « Canard à la Rouennaise »,  . 

L’Amicale s'associe également aux actifs et amis de l'AFP pour adresser à Brigitte et son fils Willy, nos sincères condoléances.

L'hommage lui a été rendu le mercredi 3 novembre à 10h45 au cimetière de Vernouillet 5, rue des Gloriettes 78540  

28 octobre - C'est avec retard que nous apprenons le décès le 24 septembre, de Robert Edouard MARTIN

Robert avait rejoint  l’Agence le 28 janvier 1980, en tant que comptable au sein de la comptabilité centrale,  puis des bureaux étrangers. Il évoluera vers divers postes de responsable Comptable.

En janvier 2000 , il sera nommé Contrôleur de Gestion de la région Province, ou il finira sa carrière en avril 2005. Toujours dans l’envie de transmettre ses connaissances, de s’investir dans ce sens, il n’hésitait pas à recevoir des stagiaires,  ou apprenti(e).  Certes dans ton langage, qu’il fallait  décrypter, mais avec beaucoup d’humour.

Robert, l’atypique , l’homme des mots et  des chiffres, d’une grande générosité, l’épicurien, le philosophe à ces heures , le photographe, nous garderons de toi cette image arpentant les rues de Paris , ton appareil autour du cou, t’arrêtant là ou il te semblait que les victuailles allaient te donner un plaisir certain,  et en bon épicurien nous lancer une invitation pour partager comme toujours un agréable moment, de rire, et même de fou rire, de prise de bec sur des sujets de société , ou nos idées divergeaient parfois, mais qu’importe, car c’était un vrai plaisir, et un moment d’échange inoubliable.

Robert aurait eu 80 ans le 3 novembre prochain, et sans aucun doute il aurait aimé partager ce moment devant un bon verre de vin, et une belle assiette, et toujours entouré de sa famille, ses amis,  son appareil autour du cou…

Toutes nos sincères pensées à sa famille, et ses proches.

La cérémonie religieuse a eu lieu le  jeudi 30 septembre en l’église Sainte Odile,  Avenue Stéphane Mallarmé Paris 17ème

21 octobre 2021 - Nous apprenons le décès de Michelle MAJORELLE survenu à l’âge de 87 ans

Tout au long de sa riche vie, elle à été infirmière, directrice de home d’enfants et de 1975 à 1995 journaliste à politique Hebdo et aux rubriques médicale, judiciaire puis religieuse des Informations Générales à l’AFP.

Ses obsèques ont été célébrées à 11h30 ce 20 octobre 2021 au crématorium du cimetière du Père-Lachaise paris 20^ème -  La bénédiction et la levée de corps se sont déroulées à 8h30 au 12 rue Méchain dans le 14^ème

Ni fleurs ni couronnes cependant si vous le souhaitez la famille invite à faire un don au profit de l’association Enfance et part age (Information Michel SAILHAN/ Régis DOUCET)

13 octobre 2021 -  Nous apprenons le décès de Marie-Hélène JOSSILEVITCH le 7 Octobre 2021 à l'âge de 90 ans.

Marie-Hélène travaillait au service des Sténos et avait pris sa retraite en 1996. 

Un dernier hommage lui a été rendu le Jeudi 14 Octobre à 10h au cimetière du Père Lachaise

Des messages de sympathie peuvent être adressés à la famille à l’adresse Caroline-quillet@laposte.net ou agnes.lesignor@orange.fr

04 octobre 2021 - Par Jacques Michel Tondre nous apprenons le décès de Maryan KAFARSKI, le 26 septembre 2021 à l'âge de  93 ans,

Véritable personnalité de celles qui font la réputation de l'AFP,  Maryan  fut un pilier du bureau de l'AFP à Varsovie, de la fin des années 1960 à son départ à la retraite dans les années 1990.

Il  avait débuté dans la profession comme collaborateur du correspondant du New-York Times à Varsovie Henry Kram. Il a par la suite été recruté par l'AFP, pour obtenir, à terme, le statut du siège.

Grâce à lui, l'AFP s'est illustrée dans la couverture des grandes grèves de 1976 et de 1980-1981 "Kafarski, un homme de terrain" .

Nommé adjoint au directeur du bureau, il a vu passer un certain nombre de chefs de poste qui tous ont conservé un souvenir très fort de ce personnage original.

Son épouse Juliette, qui avait travaillé au consulat de France, était décédée une semaine auparavant. C'est comme s'il n'avait pas souhaité lui survivre... (JMT)

  23 septembre 2021 - C'est avec une immense tristesse que nous venons d'apprendre le décès de Roger MICHOWIEZ, à l'âge de 72 ans dans la nuit du 22/23 septembre

A la retraite depuis 2008, Roger était une figure mémorable du département technique de l’AFP. Il avait commencé sa carrière à l’Agence le 2 janvier 1978 en qualité d’Ouvrier de transmissions au sein du service Terminaux du Texte. Il a rejoint le service Exploitation Postes de Travail en juillet 2000 et en en mars 2002 la Production Multimedia, pour finir sa carrière au service Exploitation Front Office Moyens Mobiles.

Il a participé activement à l’évolution de ces différents services, en prenant en charge, grâce à sa rigueur et à son efficacité, la configuration des premiers laptops équipant les journalistes. Il a également accompagné bon nombre de nouveaux techniciens en prodiguant conseil et méthode.

Au delà du travail méticuleux qui le caractérisait, "Micho" pour ses collègues, était d'une humeur joviale et sa convivialité avec son franc parlé, présente en toute circonstance. Bien avant l'Europe il était notre '' Polonais de service '' ! ravi de sa ressemblance souvent évoquée avec un certain Karol Jozef Wojtyla, 264ème pape de l'Eglise catholique, son immense fierté.  D’une santé défaillante depuis 2 ans avec plus de bas que de hauts, il avait été à nouveau hospitalisé la semaine dernière suite à une brusque détérioration de son état.      DB/HR/AFP- Portrait: d'archives HR)

L'Amicale adresse à Colette son épouse, à Sophie & Julie ses deux filles à ses petits enfants ainsi qu'à tous leurs proches, nos sincères condoléances

La cérémonie religieuse a eu lieu le mardi 28 septembre à 14H30 en l'église de ST Rémy de la Vanne (77320) suivie de l'inhumation au cimetière de la commune

Message de la famille; Colette son épouse, ses enfants et petits enfants, tiennent à remercier chaleureusement les nombreux collègues actifs et retraités d’avoir partagé leur peine soit par leur présence aux obsèques de Roger soit par l'envoi de nombreuses marques de sympathie. - Un très grand merci .

23 septembre 2021 - Nous apprenons le décès ce week-end de Serge MANNUCCI, à 80 ans. Serge était souffrant, et hospitalisé, depuis plusieurs années.

Il a passé toute sa vie professionnelle, de 1970 à 2006, à l’AFP où il avait rencontré son épouse, Martine, journaliste également. Une carrière partagée entre l’édition et le reportage de guerre. Serge avait ainsi passé ses dernières années à l’agence au desk France de nuit, où il se plaisait beaucoup. Il avait également été éditeur, à d’autres moments de son parcours, aux desks Inter ou Multimedia. Mais, comme reporter aux Informations générales de 1974 à 1983 puis au  Bureau de Paris jusqu’en 1985, Serge avait aussi connu des terrains d’action mémorables, la Centrafrique de Bokassa, le Liban pour l’offensive israélienne « Paix en Galilée », l’Iran lors de la Révolution. Il avait aussi contribué à la couverture du procès de Klaus Barbie.

C’était « un bon vivant, sympathique, jovial et débonnaire » se rappelle une collègue de la grande nuit. Des adjectifs que sa famille ne conteste pas. Pour une de ses nièces, Serge était « un homme d’esprit épicurien et plein d’humour ». Sa fille Emmanuelle (Serge avait deux filles jumelles et un garçon) se souvient de ses visites à l’AFP, et des fêtes nombreuses avec les amis de l’Agence de ce père souvent « clope à la main, généreux, séduisant et séducteur, irrévérencieux au possible ».

Amateur de voitures de collection, Serge était « capable de traverser Paris à vive allure dans une de ses voitures, pour un gueuleton dans un restaurant chinois du 13ème» selon un cousin. Depuis son petit appartement du 14ème, avant son hospitalisation, il avait consacré sa retraite à la gastronomie, aux livres, au cinéma et à ses amis.

Des messages de sympathie peuvent être adressés à la famille à l’adresse emmanuelle.mannucci@gmail.com

Une cérémonie d’adieu a eu lieu le vendredi 24 septembre au crématorium du Père Lachaise, 71 rue des Rondeaux à Paris 20ème.

28 août 2021 - Quarante ans au cœur de l’actualité du monde, Jean Claude Delmas (78 ans) grand reporter photo de l’afp à la retraite nous informe sur son Facebook le décès d’un ami motard de presse, son ancien compagnon indissociable lors de nombreux reportages et grande figure parmi le service photo AFP d'une époque bien révolue.

Un ami, un vrai s'en est allé ce 27 août 2021 ! ... Au revoir Bernard Galand, au revoir "Chonchon"

Compagnon de route , lui et sa moto "Bé M Woué", m'ont conduit et piloté sur les routes du Tour de France et en reportages pendant des années toujours en grande sécurité, pour l'AFP.

Gentiment ronchon il était, Chonchon ! Mais avec tellement de gentillesse, de simplicité et de discrétion !

Il avait le sens de l'amitié, nous formions un duo, une équipe !Que de souvenirs !

Il a rejoint Alain Martolin là-haut, ils pourront faire des tours, des balades en moto ensemble dans les vertes prairies, j'en suis certain !

  En grande pensée avec Nicole son épouse nicole.galand@orange.fr  -  (Jean Claude Delmas https://www.facebook.com/DELMASJC avec de nombreux hommages d'anciens de la Photo AFP) .

   La cérémonie religieuse a eu lieu vendredi 3 septembre 2021 en l’église Notre Dame de Ris Orangis, suivie de l’inhumation au cimetière Nouveau de Grigny

  Information de l'Amicale  

18 juillet 2021 - Après l'inimaginable interruption de 16 mois pour "raisons de pandémie" dite Covid19, par son feuillet spécial " Le Bulletin de l'Amicale de l'après Covid " le bureau de l'Amicale annonce la reprise progressive de ses activités avec pour le 30 septembre 2021 une journée découverte de Fontainebleau & Barbizon, et pour la partie spectacles 5 dates proposées pour la "saison Opéra 2021/2022".

5 juin 2021 - Par la Mutuelle AFP nous apprenons avec l'immense tristesse, le décès de DEWAELE Liliane à Antibes le 24 mai 2021 dans sa 91^ème année.

Les membres du bureau de l’Amicale unis dans la peine et le souvenir, adressent à son époux René, Président Fondateur d’Honneur de notre association, à son fils, son petit fils et ses arrières petits enfants, nos plus sincères condoléances (HR)

19 mai 2021 - Souvenirs ...  souvenirs quand tu nous tiens !

En ligne sur le Making-of de l’AFP d'avril 2019, découvrez l’interview de Jean-Pierre De Latorre par Sophie Pons, Directrice du bureau AFP de Rabat

Une carrière passionnante sur plusieurs décennies retracée à son départ en retraite par Jean Pierre, opérateur télétypiste mais avant tout technicien multi-polyvalent du bureau de Rabat, rappelant pour beaucoup "d'Anciens" une époque bien révolue depuis, des activités bouillonnantes avec leurs particularités évidemment spécifiques au fil des années et suivant leurs implantations, des bureaux AFP de l’Etranger comme de Province .

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  17 mai 2021 - Nous venons d'apprendre le décès de notre ami Jacques Liautard, vendredi 14 mai dans sa 69ème année.

Entré à l'AFP en 1971 comme opérateur télétypiste, il sera amené avec l'informatisation des rédactions et desks, d'assurer la fonction d'Opérateur Pupitreur de la Supervision Technique. Son dernier service jusqu'à son départ en retraite le 31 décembre 2008, a été le Centre Exploitation Back Office.

Jacques s'était également beaucoup investi au Comité d'Entreprise de l'AFP avec la création et gestion du Club Vidéo. Il était avec sa femme Dominique, membre de notre Amicale des Anciens.

Portrait d'archives R Doucet

L'Amicale adresse à son épouse, à Thomas et Camille ses enfants et leurs proches, nos sincères condoléances (HR)

Les obsèques de Jacques on eu lieu mercredi 19 mai dans la ville de Cormeilles-en-Parisis, ou il résidait.                            

14 mai 2021 - C'est par un message de Mr Bruno Rossolin son neveu, que nous venons d'apprendre avec grande tristesse, le décès vendredi 7 mai à l'âge de 92 ans, de Madeleine SISSAKIAN membre d'honneur de l'Amicale des Anciens de l'AFP.

Elle avait fait une grande partie de sa carrière au service de la Comptabilité Générale de l’’AFP avant sa prise de fonction comme Cheffe Adjointe du service des Achats les dernières années avant sa retraite.

Grande militante dans l’âme, « Sissa » était une personnalité incontournable dans la sphère syndicale de l’Agence en s’impliquant également avec ses mêmes convictions et déterminations dans l’organisation et le fonctionnement du Comité d’Entreprise.

Photo d’archives HR : Portrait de 2011)

Il était une évidence qu’elle allait s’intégrer aussitôt sa mise en retraite, au noyau fondateur de l’Amicale mettant à profit sa longue expérience professionnelle pour assurer la fonction de trésorière qu’elle assumera de nombreuses années.

Il lui arrivait également régulièrement lors de ses vacations hebdomadaires au bureau les mardis, de s’adonner au scrabble au sein d’un petit groupe d’adeptes de l’Amicale qu’elle rejoignait alors les après-midi.

Avec son conjoint Yvon Mesnil (également retraité de l’AFP décédé en 2000 à 80 ans), elle a participé à de nombreuses sorties et voyages de l’Amicale avant de devoir hélas décrocher progressivement à partir des années 2014, la maladie lui faisant perdre petit à petit ses capacités cognitives.(HR/VC)                                                                                                 (Photo d’archives 2006 GL -: Madeleine rendant compte à ses collègues l’annuel bilan de l’Amicale)

Les membres du bureau de l’Amicale unis dans la peine et le souvenir, adressent aux proches de « Sissa », leurs sincères condoléances

 Les obsèques de Madeleine ont eu lieu mardi 18 mai 2021 en l’église de Levallois Perret.

 Information de l'Amicale

Mai 2021 - l'Amicale des Anciens à son tour vient d'adopter le nouveau LOGO : Adieu donc l'ancien logo et bonjour au nouveau qui conformément aux directives de la ComAFP, suit ainsi l'évolution d' il y a quelques mois, de la charte graphique de l’AFP

25 avril 2021 - Nous venons d'apprendre le décès de Michel MARLEUX survenu le 2 février 2021 à l'âge de 86 ans, après avoir combattu la maladie qui le ravageait depuis plus de 2 ans. Il était avec sa femme Consuelo, membre de l'Amicale des Anciens de l'AFP

De mémoire d’anciens après avoir effectué de nombreux remplacements au service du Roulage de l’AFP dans les années 70 et 80 en qualité de  chauffeur de jour comme de nuit, Michel avait été "permanisé" dans les années1984. Il avait pris sa retraite en 1996 en rejoignant aussitôt notre Amicale des Anciens.

Quasiment membre fondateur de la Fédération Nationale des Anciens Combattants en Algérie, Maroc et Tunisie du 15^ème, Michel a été honoré en 2019 en recevant la médaille « Grand Argent » de la Ville de Paris. Il fut également un grand sportif consacrant sa vie à la lutte gréco-romaine et au cyclisme qu’il pratiqua un certain temps avec des membres de notre amicale (Levallois-Honfleur 230 km et une sortie L'Isle Adam-Amiens pour inaugurer l'autoroute A16), comme pendant 40 ans avec son père et son frère.

Apprécié de tous, il partageait pleinement la vie de plusieurs associations où il fut remarqué par sa gentillesse, sa disponibilité et son efficacité.

L’Amicale des Anciens de l’AFP exprime à son épouse Consuelo ainsi qu'à sa famille, ses plus sincères condoléances .(HR) - Portrait tiré d’une photo remise par la famille 

Avril 2021- Nous venons d'apprendre seulement maintenant, le décès en octobre 2019 de Brian MAIR, à la veille de son 72ème anniversaire le 25 octobre.

Brian avait été rédacteur du Desk Anglais à Paris à partir du 01 octobre 1970 jusqu'à son départ en retraite. Il a perdu sa longue et courageuse lutte contre le cancer en Ecosse, sa région natale, où il a été enterré..

Comme le rappelle son ancienne collège et amie Andréa Pilz, Brian représentait pour moi l’exemple d’un bon journaliste non pas seulement pour sa qualité professionelle, sinon aussi pour sa  conscience de responsabilité éthique qui selon mon avis est obligatoire dans ce metier. Un homme tout modeste, cultivé et plein d’humour avec son point de vue clair du monde sans jamais manquer de respect face aux points de vue differents.

(Informations : andreapilz@aol.com, ancienne rédactrice du Desk Allemand de l’AFP Paris avant d'intégrer en 1985 comme membre, la première rédaction de l’European Press Photo Agency (epa) à Francfort, dont l’AFP fut un des partenaires fondateurs)

17  janvier 2021 - Nous apprenons par la famille du décès le 14 Janvier 2021 à l’âge de 88 ans, de Daniel SIRE Chevalier de l’Ordre National du Mérite, .

Né à Lyon, il frappa à la porte de l’AFP en Janvier 1956 et y fera toute sa carrière.

Il débutera au bureau de Marseille puis à l’agence de Madrid mais son appétence pour l’international et sa soif de découverte l’amenèrent rapidement à quitter l’Europe en 1968 comme directeur des bureaux de Montevideo et de Bogota successivement.

En 1979 il reprendra le poste de directeur du bureau de Lyon pour 5 ans avant de repartir pour l’Amérique du Sud dont l’agitation politique et sociale n’aura fait que renforcer sa passion pour le journalisme de terrain.

Comme directeur des bureaux de Lima, Bogota puis Caracas il couvrira, entre autres, la guérilla des Tupamaros en Uruguay, la secte du sentier lumineux au Pérou, les survivants cannibales d’un crash d’avion dans les Andes, les jeux olympiques de Mexico ou encore les cartels de Colombie.

Reconnu par ses pairs pour sa diplomatie et son objectivité en toutes circonstances, il sera élu président de la presse étrangère en Colombie, au Pérou et au Vénézuela.

Il s’installera à Lyon avec son épouse de sa retraite en 1995 à sa mort, prouvant ainsi son attachement pour sa ville natale.

L’Amicale des Anciens exprime à la famille de notre fidele adhérent de province avec son épouse Sandra, ses plus sincères condoléances .

3 janvier 2021- Nous avons appris le décès dans son sommeil, de Frédérique DESMURS dans la nuit du 1er janvier 2021 à l'âge de 65 ans,

Frédérique avait travaillé comme sténotypiste de 1996 à 2006, puis au sein de la cellule multimédia du desk sports jusqu’à son départ de l’agence en 2016. Elle gardait des liens avec l’agence, fréquentant encore la bibliothèque, et venant régulièrement déjeuner dans le quartier avec deux collègues qui avaient suivi exactement le même parcours à l’AFP, Isabelle Descotes et Corine Mollet.

Elle avait une retraite très active, s’occupant d’un jardin à Bagnolet, d’animaux à placer. Elle continuait à exercer son talent de sténotypiste auprès de différents comités d’entreprise, notamment celui de l’Opéra comique.

Elle laisse un frère, et sa mère, âgée de 90 ans.

Les obsèques de Frédérique ont eu lieu à Valençay (Indre), dans l’intimité familiale.(Information " l'Agence " le fil interne de l'AFP)

Une collecte a été ouverte en son nom https://www.lepotcommun.fr/pot/6dv7xtsl

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"Espace Adhérents-Retraités"

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  Décembre 2020 - Souvenirs ...  souvenirs

Mme Colette Strauss-Hiva, petite nièce de René BENEZRA (1908-2002 * ) membre fondateur et 1er Président de l’Amicale des Anciens, vient de nous communiquer une copie du Livre d’Or remis à son oncle René en décembre 1998 à l'occasion des 20 ans de l’Association.

Pour l’Amicale des Anciens de l’AFP confrontée à l’actuelle parenthèse du Covid-19 qui ne cesse de se prolonger depuis mars 2020,un document qui doit nous encourager à garder l’optimisme et la volonté de nous relever dès que possible afin de pérenniser les actions menées depuis 42 ans à l'exemple des vétérans de l’'Amicale cosignataires de ce livre d’Or comme de bien d’autres amicalistes pour nombreux disparus depuis ..

  (*) René Benezra: Une Vie Extraordinairement remplie dans la discrétion qui fait les grands hommes..L'hommage de l'amicale à son Président Fondateur décédé le 6 septembre 2002 publié dans l'édition d'octobre 2002 du Journal de l'association.

23 décembre 2020 - L’Amicale vient d’apprendre le décès de Jacqueline SOPPELSA à l’âge de 85 ans dans la nuit du 22 décembre.

 Jacqueline avait débuté au service sténographique à la fin des années 50 puis avait été mutée au desk France pour terminer au service politique  afin d’assurer pendant de nombreuses années et  jusqu’à son départ en retraite la rubrique « Mairie de Paris ».

Avec son mari Arthur, décédé en mai dernier, Jacqueline participait à toutes nos animations. Membre du bureau de l’Amicale durant de nombreuses années, elle fut également avec Geneviève Schmitt un pilier important des rencontres « Scrabble » les mardis après-midi.

L’Amicale des Anciens exprime à sa famille, et particulièrement à son fils Patrick, sa belle-fille Philly Isabelle, et ses petits enfants, ses plus sincères condoléances. (BM/HR & portrait d'archives de 2012)

17 décembre2020 - Nous apprenons le décès d’un cancer fulgurant à Lisbonne ce 9 décembre, de François LECELRC.

François avait collaboré pendant plusieurs années aux projets multimédia.  Après avoir dirigé Canal Info, une filiale commune de l’AFP et de la Caisse des  Dépôts, qui confectionnait un « fil » pour les premiers clients multimédia, il était devenu fin 1996 conseiller spécial auprès de la Direction du Développement et des Affaires Commerciales de l’AFP dirigée alors par Monique Villa. A ce titre, il a notamment participé jusqu’en 2000, au lancement de produits multimédia et aux négociations avec les portails d’information tels que Yahoo!

 (Information " l'Agence " le fil interne de l'AFP)

 L'amicale adresse à sa femme isabelle.hourcade@gmail.com, journaliste et adhérente depuis son départ en retraite en 2019, nos plus sincères condoléances doléances

21 novembre 2020 - Nous apprenons le décès de Catherine ABBATI emportée par une maladie foudroyante à l'âge de 71 ans le 19 novembre 2020 à Marseille ou elle vivait depuis sa retraite

Arrivée à l'AFP en 1973 elle avait quitté l'agence en 2011. 

(voir l'information du " fil " interne de l'AFP)

26 septembre 2020 - Nous venons d'apprendre par son fils Stéphane, le décès de Bernard AUBERT, le 20 septembre 2020, à l'âge de 83 ans

Né le 17 octobre 1936 à Autun, il avait fait une carrière de plus de 35 ans à l'AFP comme journaliste occupant différents postes à l'AFP Paris (rédaction chef,  Diplomatique) et postes de directeur de bureaux AFP (Bonn/Berlin - Strasbourg - Johannesburg - Abidjan - Lisbonne)

Il avait rejoint l'AFP à Bonn en 1961 comme stagiaire.

Pour son premier reportage de journaliste il avait accompagné à Berlin Jacques COLRAT (à l'époque en poste à  l' AFP Vienne - Dcd en 2015) , pour couvrir la construction du mur. Ironie de l'histoire, il devait assister en 1989 à la chute de ce mur.

Bernard était passionné de parachutisme, de pêche à la mouche, de musique (il jouait de la guitare). (Infos et portrait de sa famille)

22 septembre 2020 - Nous venons d'apprendre par sa femme Marie-France, le décès de Jean-Louis LAGER ancien radio-technicien et cadre technique, à l'âge de 85 ans

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18 septembre 2020 - L’Amicale des Anciens vous propose la découverte d’un auteur Pierre-Antoine DONNET, membre avec sa femme Monika de notre association, à l’occasion de la récente sortie de son dernier ouvrage...  « Le leadership mondial en question » (nb)

La Chine et les Etats-Unis sont entrés dans une période de guerre froide multiforme : commerce, hautes technologies, compétition géostratégique, espace, défense, environnement et valeurs.

L'issue, encore incertaine, de ce bras de fer entre les deux plus grandes puissances économiques de la planète va sans nul doute marquer les prochaines décennies. L'Europe, quant à elle, assiste en spectateur impuissant, plongée dans ses dissensions internes, à ce combat de titans. Pour exister, il lui faut trouver sans délai ses propres réponses aux enjeux planétaires du XXIème siècle. Après le siècle de l'Amérique, celui de la Chine ?

Ce livre trace par le menu, exemples à l'appui, ce spectacle inquiétant dont dépend pour une grande partie ce que sera notre vie quotidienne de demain".

L’auteur, Pierre-Antoine né à Colmar en 1953, après sa jeunesse et adolescence passées à Mulhouse, est pris lors de ses études par un coup de foudre asiatique qui l’amènera pour parfaire son apprentissage à Hong Kong et Taïwan avant de frapper en 1981 à la porte de l’AFP.

Il y fera toute sa carrière en occupant de nombreux postes (correspondant à Pékin et Tokyo, à l’ONU (New York), directeur du bureau de Varsovie, du bureau de Strasbourg, rédacteur en chef pour le moyen Orient à Chypre, rédacteur en chef à Paris etc...  jusqu’à son départ en retraite en 2018.

Nous lui devons également une vingtaine de publications parmi lesquelles : Tibet mort ou vif, Gallimard, « Au vif du sujet », 1990, 1991, « Folio Actuel, 1993, (traduit en cinq langues) - Le choc Europe-Asie, Seuil, « L’histoire immédiate », 1998, -  Volcans d’Auvergne : les montagnes et les hommes, éditions Alan Sutton, « Mémoires en Images », 2003, -  La Saga Michelin, Seuil, « L’histoire immédiate », 2008, -  Quand la Chine achète le monde, éditions Philippe Picquier, 2018, Prix spécial Turgot 2019 et enfin,   - Le leadership mondial en question, l’affrontement entre la Chine et les Etats-Unis, éditions de l’Aube, avril 2020, coll. « Le Monde en cours ». (HR)

(nb) -  (Condition privilégiée d'achat du livre aux amicalistes de l’AFP, à voir auprès de information@amicaleafp.fr)

27 aout 2020 - Nous apprenons le décès à Paris le 23 aout 2020, de Jean Mauriac à l'âge de 96 ans

Fils de l'écrivain François Mauriac, Jean fit toute sa carrière à l'AFP où il suivit le général de Gaulle pendant plus d'un quart de siècle, est décédé lundi à Paris, a annoncé à l'AFP son fils Laurent Mauriac.

Né à Paris le 15 août 1924, Jean Mauriac était étudiant en droit à la Libération de Paris. Il entre alors à l'Agence France-Presse, qui vient d'être fondée par des journalistes résistants, pour être aussitôt accrédité rue Saint-Dominique où l'homme du 18 juin s'est installé.

C'est le début d'une mission qui durera 26 ans : il suit le général de Gaulle lors de son premier gouvernement puis, à partir de 1947, dans l'aventure politique du RPF (Rassemblement du peuple français). Son frère, Claude Mauriac, mort en 1996, fut, lui, secrétaire particulier de de Gaulle de 1944 à 1948.

Tout en couvrant les conférences internationales de l'après-guerre, les questions du Maghreb et de la décolonisation, Jean Mauriac est le seul journaliste à accompagner de Gaulle, alors en pleine traversée du désert, dans son long tour du monde en 1956.

Il le suit à l'Elysée, jusqu'à son départ en 1969. Le 9 novembre 1970, c'est lui qui donne, avant tout le monde, le "flash" annonçant la mort de l'ancien président.

En 1974, nouveau scoop, il dévoile sur les fils de l'AFP les circonstances de la mort de Georges Pompidou grâce aux témoignages de ministres présents lors des derniers conseils présidés par un homme alors à l'agonie.

Alors rédacteur en chef adjoint de l'agence, il prend sa retraite professionnelle en 1988.

Membre de l'Institut Charles-de-Gaulle, ce père de deux enfants, mince et de taille moyenne, vif et courtois, portant lunettes, avait publié plusieurs ouvrages sur Charles de Gaulle.

Il s'était confié sur la relation qu'il avait nouée avec ce personnage hors norme, pleine de confiance mais sans familiarité ni complicité. "J'étais pour lui le fils d'un écrivain qu'il aimait et admirait. Rien de plus. Et c'était déjà beaucoup", disait-il.

Il avait aussi raconté son admiration pour les engagements politiques de son père, malgré son caractère froid et distant.

L'ancien ministre gaulliste Alain Peyrefitte avait dit, avec malice, "qu'il aura été, des trois Mauriac,(Information et Photo AFP du  journaliste politique Jean Mauriac en 1974 à son bureau de l'AFP)

25 juillet 2020 - Disparition à l’âge de 77 ce 23 juillet 2020 de Kader Diop, chef adjoint du Bureau de l’AFP à Dakar où il a pris sa retraite,

Pa Kader comme l’appelaient affectueusement ses proches s’est formé en France.

La presse perd une plume éthique. La rigueur dans le travail en bandoulière, le sens des responsabilités dans sa mission, une loyauté indéfectible, Kader Diop fait partie de ces hommes qui auront marqué à tout jamais la presse sénégalaise.

Quand on parlera de Kader Diop, le passé sera de mise ! Le journaliste n’est plus. Il est décédé ans. Ils sont nombreux à parler d’une longue maladie qu’il traînait depuis des années. Ainsi l’ancien reporter de la Radiodiffusion télévision sénégalaise (Rts) laisse derrière lui un lourd héritage pour la jeune génération.. C’est au studio-école de Maisons-Laffitte qui formait les journalistes des pays francophones que Pa Kader a forgé ses armes d’homme de médias.

Par la suite, il a fait les beaux jours de la Rts. C’est dans les années 1970 que Pa Kader s’est fait un nom dans le monde sportif. Spécialiste du basketball et du volleyball, il était naturellement l’un des meilleurs reporters sportifs de sa génération. Son engagement pour le développement du basketball sénégalais n’est plus à démontrer. Même si son passé reste glorieux à plus d’un titre, Pa Kader est surtout connu de la jeune génération pour son combat pour le respect de l’éthique et la déontologie journalistique.

Faut-il rappeler qu’il a été membre fondateur du Conseil pour l’observation des règles d’éthique et de déontologique dans les médias (Cred), un organisme d’autorégulation des médias, qu’il a dirigé pendant quelques années. Et qui est devenu Conseil pour l’observation des règles d’éthique et de déontologie dans les médias (Cored). Il a été aussi membre très éminent du Tribunal des pairs du Cored. Qui a réagi par communiqué parle «d’un homme ouvert, généreux dans le partage de son savoir et de son expérience, qui prodiguait des conseils à tout le monde».

Formateur à l’école de journalisme de l’université Cheikh Anta Diop sur l’écriture d’agence de presse, Pa Kader a été salué par ses paires qui ont unanimement reconnu sa loyauté, sa rigueur de travail et sa passion pour le journalisme. (information reprise de https://www.lequotidien )

07 juillet 2020 - Nous venons d'apprendre le décès de Jacques Chanet ancien administrateur du personnel technique, survenu le 3 juillet dans sa 88 année.

06 juillet 2020 - Nous avons appris le décès de Georges Lecaçon survenu le 15 février 2020.

Entré à l’AFP en 1978, il a travaillé de nombreuses années de nuit au service  de la reprographie. Après la suppression de cette tranche horaire, il a intégré l’accueil courrier en 1999 qu’il a quitté en juin 2017 pour prendre sa retraite. Georges était un homme cultivé et d’une grande discrétion. 

La dispersion de ses cendres a eu lieu au Jardin du Souvenir du Père Lachaise ce vendredi 3 juillet.

C'est avec une profonde tristesse que j'ai appris le décès de mon ami Georges.

Je l'ai connu  quand il intégra mon service, la Reprographie, puis à l'Accueil Courrier jusqu’à mon départ en retraite en janvier 2007.

Au fil des années, il était devenu plus qu'un collègue, un ami toujours à l'écoute, égal à lui même, très cultivé dans de nombreux domaines, il  apportait à tous  ses connaissances mais toujours avec modestie et simplicité.

Malgré mon éloignement de la capitale pour le Sud, nous sommes restés très liés, toujours en contact, jusqu'en janvier de cette année, après 41 ans d'une amitié sincère. Il me manque déjà. (Alain Roussie)

01 juillet 2020 - Nous venons d'apprendre le récent décès d'André Degrandi et .... le 18 mars à l’âge de 89 ans, d'Annick Chevalley.

14 juin 2020 - Nous apprenons le décès de Durant André, grand photoreporter

Pigiste pour le bureau de Rennes il intègre l’AFP en 1984. Photographe polyvalent, il traite la politique, le sport, les faits divers. L’AFP lui confit son premier reportage de guerre en Irak en 1988 (guerre Iran/Irak). Il est muté à Montpellier en 1989. Les reportages internationaux s’enchaînent dont la Roumanie (chute de Ceausescu). Il obtient pour l’AFP le seul visa permanent pour l’ex-URSS et sera ainsi sur le terrain des premières manifestations de la Place Rouge (1989) et ce jusqu’à la chute de Gorbatchev et l’arrivée de Boris Eltsine (1991). Suivront Sarajevo , la Somalie, 5 années en poste en Israël comme responsable photo pour Israël et les territoires Palestiniens avant un retour à Paris et enfin une dernière mutation à Rennes jusqu’à son départ en retraite  (Photo portrait: DO)

 (Souvenirs ...  souvenirs .. André Durand, un photoreporter dans la seconde Intifada)

La vie est faite de belles rencontres et André Durand en fait partie (Lescalier Francois sur Facebook).

Reprise d'un communiqué du SNJ-CGT

3 juin 2020 - Jean-Michel Cadiot, 67 ans, ancien directeur des bureaux AFP de Téhéran et Bucarest, est décédé à Paris le 1er juin 2020 après une grave opération au cœur, a-t-on appris auprès de son épouse, Maryam.

Né le 23 décembre 1952, Jean-Michel Cadiot a travaillé pendant 34 ans pour l’AFP. D’abord correspondant en Irak, il avait intégré l’Agence en 1981. En poste à Rennes et à Brest,  il avait ensuite dirigé les bureaux de Téhéran et Bucarest.

A Paris, Jean-Michel Cadiot a travaillé au service politique, chargé de la couverture de l’Assemblée nationale et au service des Informations générales à la rubrique « religion ». Il a également travaillé au Bureau de Paris, au service de la documentation et au desk Afrique.

Ancien membre du Comité national du SNJ-CGT, Jean-Michel Cadiot a par ailleurs eu une importante activité syndicale et a milité en faveur de la préservation de l’indépendance de l’AFP (In memoriam ci-dessous) . Il avait quitté l’Agence en 2012.

Jean-Michel était le petit-fils de Francisque Gay, ministre d’État en 1945 dans le deuxième gouvernement du général De Gaulle puis vice-président du Conseil en 1946. Fondateur des journaux catholiques La Vie Catholique et l’Aube, Francisque Gay avait crée en 1944 le Mouvement républicain populaire (MRP). Jean-Michel , qui lui a consacré un  livre, était empreint de ce courant des chrétiens démocrates.

Malgré une succession de drames personnels, il restait optimiste et rieur. Curieux de tout, féru de théologie et de langues (il parlait le chinois et le farsi notamment), amoureux du débat, Jean-Michel a écrit de très nombreux ouvrages, notamment sur la situation des chrétiens d’Orient.

Il laisse derrière lui une femme et un fils, Pierre-Mani.

L'Amicale se joint au SNJ-CGT pour leur présenter ses sincères condoléances.

Vous pouvez leur adresser un message à shogoonyazdanian@yahoo.fr ou à l’adresse postale : 102 avenue du général Leclerc 75014 Paris.

In memoriam : Jean Michel Cadiot, 1952-2020 : défenseur hors pair de l'indépendance de la presse ( David Sharp, fondateur du site « SOS-AFP »)

Les obsèques de Jean-Michel Cadiot ont eu lieu le lundi 8 juin en l'église Saint-Sulpice, (Paris 6°)

24  mai 2020 - L'amicale vient également d'apprendre le décès le 27 avril d'un de ses adhérents de province Raymond Bondot, à l'âge de 86 ans des suites du covid 19.

Raymond avait travaillé au service technique. Il fut l'un des derniers techniciens à avoir dépanné les «printings » (fabrication Writh et Nigron des années 1920)

(nb) - Hérité de l’ancienne Agence Havas, le réseau "printings"  de l’AFP diffusait des cotations boursières à destinations de clients spécialisés  comme des  informations hippiques dans de  nombreux cafés de paris et de sa proche banlieue ou l’Agence France Presse avait l’exclusivité de ce service d’information à « temps réel » alors très prisé par les turfistes.

D’un fonctionnement devenu avec le temps archaïque, le réseau des printings devait être progressivement remplacé (dans les années 1978) par un service télégraphique sur imprimante siemens T100 . Dans les années 1985 la Sté du PMU devait s’approprier ce monopole de la diffusion des pronostics et résultats hippiques, en installant à sa clientèle des bornes interactives.

L'amicale exprime aux proches de Raymond et particulièrement à son fils François connu par ses activités au service du magasin puis à la climatisation avant de quitter l'Agence en 2007, les plus sincères condoléances.(HR)

16 mai 2020 - Nous apprenons le décès de Jacky Dalon ce 14 mai, des suites d'une longue maladie. Il allait avoir 65 ans le 30 juin prochain.

Entré à l’AFP en 1978, il rejoint le service technique « des mécaniciens » en charge de la maintenance  des téléscripteurs. En 1989, il intègre les Terminaux Texte et Atelier. Au début des années 2000, il poursuit sa carrière au service Production Multimédia puis en 2007 à Front Office Poste de Travail. Il termine sa carrière au département Support Utilisateurs jusqu’en octobre 2017 à son départ en retraite.

L’image que nous garderons de notre ami Jacky est son petit sourire et les yeux qui pétillent quand il sait qu’il va faire un bon mot.

Les obsèques ont eu lieu mercredi 20 mai dans l’Eure. Nos pensées vont à sa famille, son fils, sa fille et ses petits-enfants.(Info newsletter DSI AFP - Photo Pili Cabistany)

 9 mai 2020 - Nous apprenons avec grande tristesse le décès de Arthur Soppelsa, décédé ce 6 mai. Il avait 88 ans.
Il était une mémoire vivante et intarissable de la télévision française depuis ses débuts et jusqu'à son âge d'or. Rien ne lui avait échappé des personnalités journalistiques, artistiques ou politiques qu'il avait croisées entre les studios de Cognac-Jay  et ceux des  Buttes-Chaumont. Et quel talent pour nous conter drôlement son expérience.
Une grande tristesse pour l'amicale qui perd ainsi un membre important par sa participation très assidue depuis de nombreuses années en accompagnant sa femme Jacqueline pilier central de l'association depuis sa retraite, aux nombreuses animations proposées. (PT)                                      (Portrait d'archives HR de 2012) 

L'amicale exprime à Jacqueline ainsi qu’à son fils Patrick nouvel adhérent et à leurs proches, tout son soutien dans ce moment très douloureux.

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 9 mai 2020 - Nous apprenons avec grande tristesse le décès le 2 mai à l'âge de 68 ans, de notre ami Riba José Maria  

Journaliste au long cours (il a collaboré pendant trente-cinq ans à l’AFP après avoir débuté à RFI et à Libération), José Maria Riba restera avant tout comme un formidable découvreur de talents et bâtisseur de ponts dans le domaine du cinéma.

Vingt ans après avoir amené le premier film d’Alejandro Iñarritu (Amores Perros) à Cannes, quinze ans après avoir lancé la programmation Espagnolas en Paris, pour faire passer les Pyrénées à une cinématographie espagnole méconnue,

Notre ami amicaliste en retraite depuis 2017, est décédé à Paris des suites d’un cancer aggravé par le coronavirus.

L'Amicale des Anciens de l'AFP adresse à Eva sa femme à leurs deux filles et aux proches de la famille, les plus sincères condoléances .

  (Photo Le monde.fr Vincent Mottez) 

9 avril 2020 - Nous apprenons avec grande tristesse le décès ce 8 avril à l'âge de 88 ans, de Wallois Michel à l'hôpital de Magny en Vexin, victime du Covid.

La crémation aura lieu au crématorium de St Ouen L'Aumône Lundi à 13h00 dans la plus stricte intimité suite aux mesures en vigueur actuellement.

Après le confinement, une cérémonie aura lieu à Boulogne sur Mer où il rejoindra dans le caveau familial sa femme décédée il y a 18 mois .

L'Amicale des Anciens de l'AFP adresse, les plus sincères condoléances aux proches de Michel avec une pensée particulière pour son fils Frédéric, connu de tous pour avoir travaillé jusqu'à son récent départ en retraite, dans les services techniques de l'AFP..

(Portrait d'archives HR)  

8 avril 2020 - Nous apprenons avec grande tristesse le décès ce mardi 7 avril à l'âge de 97 ans, de Michel Leleu hospitalisé à Clamart depuis le 5 avril. (Un décès qui ne serait pas lié à la pandémie en cours) 

L'Amicale des Anciens de l'AFP adresse, les plus sincères condoléances aux proches de Michel. (Photo de 2015 P.Thébault  & de 1974 AFP)

  ---  Hommage à Michel Leleu  (Philippe Thébault)  ---    ---  Michel Leleu se remémorait en 2018 du  "Maghreb Circus  --- 

 Coronavirus oblige  .... 

Durant cette période de quarantaine de l'équipe du bureau de l'Amicale, veuillez adresser vos demandes urgentes à : information@amicaleafp.fr

Message de Jean-Pierre Chagnon, Président de la Mutuelle du Personnel de l’AFP

Cher(e) mutualiste, suite aux mesures prises par le gouvernement sur les mesures de protection de la population et des salariés pour faire face à la pandémie de Coronavirus, nous vous informons que la mutuelle sera fermée jusqu’à nouvel ordre. Les remboursements et allocations reprendront avec la réouverture de la mutuelle.

Nous vous remercions pour votre compréhension en cette période particulière.

Prenons ensemble toutes les précautions nécessaires et restons solidaires.

25 février 2020 - Nous apprenons par l’AFP, le décès brutal à l’âge de 63 ans, de Drouin Vincent.

Vincent, qui venait de prendre sa retraite en janvier 2020, comptait à l’Agence de très nombreux amis, avec lesquels il avait travaillé au cours de sa riche carrière à l‘AFP.

Aimé et respecté de tous il a toujours défendu avec courage et probité l'agence et sa mission.
Il laisse une compagne, deux grands enfants et une petite-fille

15 janvier 2020 - l'Amicale des Anciens de l'AFP vient  d'être informée des récents décès de Valette Simone (81 ans) et de Durand Alain

14 janvier 2020 - Nous apprenons le décès de Jacqueline Claisse-Claude. Plus connue à l’ AFP sous son nom de jeune fille et de plume, Jacqueline Claude est  décédée fin décembre  2O19 dans sa 95^ème année près de Senlis.

Elle a été la titulaire de la Rubrique Mode à l’AFP, pendant près de trente ans, de la fin des années 60 à la fin des années  90. Fille d’un ancien de Havas elle était entrée  comme secrétaire au Service Features de l’AFP où elle s’est spécialisée comme journaliste dans les domaines de la Culture et de la Mode, tout en assurant  un poste à la rédaction du Desk Outre-mer.

Détachée ensuite à la seule Mode dont elle connaissait les moindres détails par sa mère couturière, Jacqueline Claude y déploya jusqu’à la retraite son bonheur d’écriture et sa gouaille très parisienne.

Elle était co-fondatrice avec le journaliste Pierre-Yves Guillen de la récompense du  «Dé d’or » de la Haute couture qui était  attribué chaque année de 1976 à 1990 à deux créateurs de mode par des journalistes spécialisés.

Elle avait épousé René Claisse, opérateur radio à l’AFP,  décédé avant elle.

Jacqueline a été enterrée le 27 décembre 2019 dans le cimetière de Villers Saint-Frambourg où elle avait restauré avec son mari une vieille maison de village (Information Amicale M B)

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